Author Archives: Stéphanie Michel Amato

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créer un plan D'actions

Du mal à passer à l’action ? Voici comment créer un plan d’actions et passer de la tête aux jambes

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Les entreprises que nous accompagnons soulignent souvent que nous les aidons à passer à l’action en leur donnant l’impulsion qui leur manque. Nous n’avons pas de baguette magique, juste une méthode et un outil : le plan d’actions et son combo gagnant, l’association d’objectifs à des actions concrètes et réalisables ! Si vous avez du mal à passer à l’action, voici comment créer un plan d’actions pour vous aider à traverser la rivière.

Créer un plan d’actions, pour quoi faire ?

Pour traverser la rivière jette ton chapeau de l’autre côté de la rive …

créer un plan d'actions efficace

Le plan d’actions vous aide à passer de l’autre côté de la rivière.

Un plan d’actions est un document interne aux entreprises qui définit une stratégie à appliquer pour arriver à un résultat voulu.

Il priorise les actions en fonction des objectifs et crée un cadre pour atteindre les objectifs.

Il peut s’appliquer à toutes les problématiques identifiées par une société (organisationnel, prise de risques, plan marketing, prévention des risques, etc.)

Grâce au plan d’actions, vous allez :

  • Poser des objectifs en termes d’ACTIONS pour décliner la stratégie de l’entreprise de manière opérationnelle
  • Affecter des RESSOURCES et ainsi optimiser l’affectation des ressources commerciales sur des cibles choisie
  • Impliquer les ACTEURS en responsabilisant tous les intervenants concernés
  • Définir des indicateurs de MESURE avec une notion de progrès continus

La puissance du plan d’actions réside dans l’association d’objectifs avec des actions formalisées car il:

  • Agit sur la cause et non sur le symptôme en engageant sur les mots
  • Réunit une équipe autour d’un même objectif et définit quand qui comment
  • Développe la culture solution et l’amélioration continue
  • Responsabilise

Mais alors comment faire pour créer un plan d’actions ?

Le plan d’actions vous permet de disposer d’un document de référence pour le suivi des actions et leur avancement.

Il regroupe des actions par grandes thématiques en y affectant :

  • Des moyens financiers, humains et techniques
  • Des priorités
  • Des échéances et des délais
  • Des indicateurs de suivi.

Il s’inscrit en trois phases : l’élaboration, la mise en œuvre puis le suivi et l’évaluation.

Que mettre dans mon plan d’actions ?

créer un plan D'actions

Étape 1 : Définir des objectifs précis et mesurables

Les objectifs sont la clé de la réussite.

Pour définir vos objectifs, vous devez les formaliser avec des éléments clés qui en assureront la crédibilité et le réalisme.

Vous pouvez utiliser la classique mais toujours efficace méthode SMART :

  • SPECIFIQUE : Rédigé de façon simple et concise sur un sujet précis
    et concret
  • MESURABLE : Détermination d’indicateurs sans équivoque
  • AMBITIEUX : Implique un effort et un engagement
  • REALISTE : Moyens et compétences ainsi que le contexte
  • TEMPOREL : Défini dans le temps (Durée, échéances, étapes éventuelles…)

créer un plan d'actions avec smart

Exemple d’objectif SMART : publier un post LinkedIn par semaine pendant un mois à partir de mardi prochain

Vous pouvez aussi utiliser la méthode SUR (Spécifique Ultra facile Réalisable).

Étape 2 : Lister vos actions identifiées et à venir

Vous devez garder la cohérence entre les actions et disposer d’une vision globale de l’ensemble de vos objectifs. Groupez les actions par grandes thématiques

Simple, Basique.

🎯 Étape 3 : Prioriser (ou comment choisir le bon chemin)

Cette étape permet de savoir où mettre votre énergi. Vous pouvez vous inspirer de deux méthodes :

  • La bonne vieille matrice d’Eisenhover (importance/urgence)
  • La matrice QuickWin (🙏 @carol Picon) qui apportent 2 critères intéressants (impact/effort)
  • Matrice_Einsenhover_Ajem

Matrice_Quick_Win_Ajem

Etape 4 : attribuer des moyens humains, techniques et financiers

Déterminez les compétences requises et leurs disponibilités en interne et en externe, les outils, les budgets et les financements.

  • Moyens humains
    • Compétences requises
    • Disponibilité des ressources en interne
    • Intérêt de le réaliser ou non en interne
    • Recruter, former et/ou externaliser
  • Moyens techniques
    • Outils (de gestion, CRM, de communication, etc.)
    • Supports
  • Moyens financiers
    • Budget affecté
    • Évaluation du coût (devis)
    • Financement

 Étape 5: Définir les rôles et responsabilités

Qui fait quoi ? Pour chaque action, identifiez un responsable et des acteurs. Privilégiez une responsabilité interne pour le cœur de métier et évaluez ce que vous devez laisser en interne ou externaliser, en général en fonction de la nature de l’action. Si elle relève du cœur de métier, privilégier l’interne. Si c’est une expertise privilégiez l’externalisation (marketing, expert-comptable, Community manager etc.).

Étape 6 : Se donner des échéances réalistes

Vos échéances doivent tenir compte des étapes précédentes, des priorités, des moyens affectés et des plannings et être… atteignables ! Cette étape est souvent remplacée par le célèbre ASAP (as soon as possible) qui ne signifie rien et ne vous permettra pas de jeter votre chapeau de l’autre côté de la rive…

Étape 7:  Définir des indicateurs

Last but not least !

Les KPI sont souvent les parents pauvres des plans d’actions alors même qu’ils permettent d’en mesurer la réussite. Plan Do Check Act… La célèbre boucle de l’amélioration continue passe par la mesure de la performance. Elle eput être simple (l’indicateur pour la création d’un site web est sa mise en ligne) ou plus large (nombre de visites sur un site web, nombre de leads générés, etc.).

Et vous ? Comment faites-vous pour passer à l’action ? Quels sont vos recettes secrètes ?

Si vous avez besoin d’être accompagné  sur ce sujet pour votre stratégie commerciale et marketing, contactez-nous !


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rédaction de témoignages clients

Rédaction de témoignages clients : le jeu des 7 erreurs (à ne pas commettre)

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Quand il s’agit de générer du contenu, la rédaction de témoignages clients  (ou case studies ou études de cas ou success stories) se révèle un outil à forte valeur ajoutée. Encore faut-il l’utiliser avec pertinence et proposer un contenu de qualité, valorisant pour l’entreprise et son client et permettant à vos clients et futurs clients de s’identifier.

Erreur n°1 : Penser la rédaction de témoignages clients sans stratégie globale

Vos clients sont vos meilleurs commerciaux alors pourquoi ne pas le faire savoir ? En effet, un client qui témoigne et raconte sa collaboration avec une entreprise est forcément un client satisfait. Une fois que l’on a dit cela, on n’a pas tout dit…

En effet, la rédaction de témoignages clients doit faire partie d’une stratégie globale de génération de contenu qui visera toujours à promouvoir l’expertise de vos clients et servir vos objectifs marketing et commerciaux. Vos cas clients sont aussi source d’inspiration pour les tribunes d’expert, des référentiels de bonnes pratiques ou des prises de paroles (webinairs, ateliers lors de salons) que vous animerez. Pensez global !

Erreur n°2 : Négliger la qualité du contenu

Au-delà de la simple mise en avant des produits et services, il s’agit aussi de permettre à vos clients de se projeter dans l’histoire d’autres professionnels et de lire un retour d’expérience qui leur apportera à la fois de l’information et des idées. La qualité du contenu est essentielle à la réussite de vos témoignages clients car ils doivent avant tout séduire vos lecteurs et leur donner envie de vous contacter pour en savoir plus. La rédaction de témoignages clients doit être pertinente, raconter une histoire (intéressante de préférence) et apporter « de l’eau au moulin » autour de la thématique abordée. Ainsi un témoignage d’un e-commerçant sera intéressant pour ses confrères s’il peut raconter l’histoire de sa réussite, la mise en place d’un nouveau logiciel de supervision pourra intéresser un responsable de production informatique si le témoignage permet de faire ressortir les erreurs à ne pas commettre dans la gestion de son projet, etc.

Erreur n°3 : Réduire la rédaction de témoignages clients à des citations très gentilles ou à un simple avis client

Un cas client n’est pas une citation, ou un avis client ou un carton de remerciement. Écrire que « Whaou ils sont super dans cette entreprise et le produit il est vraiment top! », ce n’est pas rédiger un cas client…

Ce qui intéresse un lecteur potentiel c’est la problématique qu’avait le client avant de se lancer dans son projet, quels ont été ses critères de choix, comment il a mené son projet, quels bénéfices il en a tiré et quelles sont les perspectives… Il faut aussi et surtout citer le client, le faire parler avec des citations relativement longues où il racontera SON projet, vu et surtout vécu par lui-même. Pas par votre entreprise.

Erreur n°4 : Ne voir que la référence client

Avoir une belle référence client c’est bien. Avoir un projet intéressant à raconter avec ce client, c’est tout de même mieux. Il est donc important de bien choisir les cas clients et de parfois privilégier des entreprises moins connues mais dont le projet est réellement intéressant à raconter plutôt que de citer un projet de faible envergure et à faible impact réalisée dans une grande entreprise.

Erreur n°5 : Ecrire un témoignage client et pis c’est tout…

Les témoignages de vos clients peuvent prendre plusieurs formes : le rédactionnel sous forme de publireportage, l’interview, la participation à une conférence mais aussi une vidéo qui aura le mérite d’être très complémentaire à un rédactionnel et plus visuelle. Il s’agit ensuite de le diffuser et d’en tirer le meilleur parti !

Le témoignage client – rédactionnel ou vidéo – peut être intégré dans le kit d’outils d’aide à la vente pour les commerciaux, être exploité aisément par les attachés de presse sous forme de communiqué de presse de type « retour d’expérience » mais aussi mis en ligne sur votre blog votre site web, sur les réseaux sociaux (viadeo, facebook…), dans vos newsletters, etc. Et bien sûr, vous pouvez demander à vos clients d’intervenir lors de conférences et autres « speaking opportunities ». Ce sont également de très bons outils pour réaliser des campagnes d’inbound markéting ou d’ABM.

Erreur n°6 : Penser le projet uniquement autour de la rédaction de témoignages clients et/ou du tournage

La prise en charge complète du projet couvre un certain nombre d’étapes indispensables, qui peuvent, sans méthodologie, s’avérer aussi laborieuses que chronophages :

  • La définition du contenu du témoignage : ligne éditoriale (quel style choisit-on, interview ou rédactionnel, video et/ou papier et numérique…), format du reportage si ce choix a été fait (type JT, video…), charte graphique…
  • La demande d’autorisation auprès du client : prise de RDV, création des outils de communication (mails, lettres), organisation des interviews en interne (commercial, responsable du compte, technicien…) et chez le client, par téléphone ou en face à face
  • La rédaction et le montage : rédaction des documents, montage, mise en page
  • La validation finale en interne, auprès de l’interlocuteur puis de la direction de la communication

En résumé, sans méthodologie ni vision globale du projet, point de salut.

Erreur n°7 : Oublier que sans l’autorisation du client, vous ne pouvez rien faire…

Rédiger vous paraît peut-être le plus difficile, détrompez-vous ! Obtenir les autorisations et fixer les rendez-vous pour réaliser les interviews est souvent très long et complexe.

N’oubliez pas de valider l’accord de votre interlocuteur avant d’enclencher le projet et surtout validez que vous disposez des autorisations des directions de la communication ou des dirigeants de l’entreprise qui témoigne.

Pensez à aider votre interlocuteur à obtenir les autorisations en interne en lui adressant un mail récapitulatif qu’il pourra ensuite transférer à ses responsables. Rédiger et ne pouvoir publier, ce serait vraiment « ballot » …

Envie de savoir comment faire ?

Deux solutions :

  • Vous former avec nos rédacteurs professionnels !
  • Nous contacter pour nous confier vos témoignages clients !

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ALIGNEMENT sales marketing

Alignement Sales Marketing : vers la fin du « je t’aime moi non plus » ?

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En tant que consultant expert en marketing, nous sommes intimement conscients de la relation parfois tumultueuse entre les départements des ventes et du marketing au sein des entreprises. L’alignement Sales Marketing reste un vrai sujet pour les directions d’entreprise.

L’histoire qu’aime à raconter de Stéphanie est celle de la jeune chef de produit qu’elle était et qui détestait les réunions avec les commerciaux…

« Nous nous prenions la tête, nous étions incapables de nous parler sans que cela finisse avec de la cervelle sur les murs et tous les chefs de produit de l’équipe ont rêvé au moins une fois de les incruster dans le mur … »

Devenue Directrice Marketing, la question s’est posée différemment et avec son homologue à la direction commerciale, elles ont réussi à faire du bon travail : avec un peu d’avance sur ce qui se passe à présent, elles ont « aligné » les sales et le marketing !

Cette histoire résonne probablement auprès de nombreux directeurs marketing et chefs de produits, rappelant des souvenirs de tensions et de conflits passés.

Cependant, cette dynamique peut changer. L’alignement entre les ventes et le marketing est désormais plus réalisable que jamais.

Les 6 règles de l’alignement Sales Marketing : c’est un peu comme dans un couple !

En effet comme dans les vieux couples il faut faire des efforts chaque jour

Travailler toutes les deux, main dans la main (en regardant dans la même direction)

Cela commence en amont car il ne s’agit pas de demander l’avis de tous mais de construire ensemble pour répondre à des objectifs communs.

Il est crucial de souligner que le succès de cette collaboration réside dans une approche proactive et collaborative. Travailler main dans la main dès le début permet d’établir des objectifs communs et de co-construire des stratégies qui répondent aux besoins du marché et des clients.

Prendre conscience que l’un ne va pas sans l’autre (et oublier les silos)

Vous ne pouvez imaginer imaginer un camembert sans sa baguette, Peter sans Sloane, Castle sans Beckett ?  C’est pour le meilleur et pour le pire … Alors autant que ce soit pour le meilleur …

Il est essentiel de reconnaître que les ventes et le marketing sont interdépendants, complémentaires et indispensables l’un à l’autre. Cette compréhension mutuelle favorise une coopération qui se veut harmonieuse, afin de conduire à des résultats plus probants. Pour résumé, impossible de travailler en silos sous peine de perdre en performance commerciale et marketing.

Se rappeler que le client est en garde partagée (et rester focus dessus).

Oui, il est d’abord qualifié par le marketing avant de passer chez les commerciaux mais grâce à des contenus que les commerciaux doivent lire, comprendre et exploiter …

Il est donc indispensable quand on parle d’alignement Sales et Marketing de se rappeler que le client est au cœur de cette relation. Le marketing qualifie les prospects avant de les transmettre aux ventes, mais les informations et les contenus fournis par le marketing sont essentiels pour que les commerciaux puissent conclure des ventes fructueuses.

Bref il s’agit de rester focus sur le client plutôt que sur « tout ce qui nous sépare » comme chantait Jil Caplan dans les années 90.

Se donner les moyens de réussir (et donc collaborer au quotidien)

Mettre en place réunions, outils partagés, échanges réguliers, bref mettre en place des outils et renouveler le quotidien est indispensable.

Pour faciliter cette collaboration, il est nécessaire de fournir les outils et les moyens appropriés. Des réunions régulières et interactives (pas basées sur des powerpoints et des annnonces de pipeline), des outils partagés et une communication fluide sont essentiels pour maintenir cette relation sur la bonne voie et favoriser une efficacité partagée.

Développer un respect mutuel (sans égo démesuré)

Il est indispensable de se rappeler que le client (comme les mômes) a besoin des deux : personne ne vous demandera jamais de choisir entre votre père et votre mère.

Le respect du travail de l’autre est le pilier fondamental de cette alliance. Reconnaître la valeur et l’expertise de chaque département contribue à renforcer la confiance et à favoriser une coopération fructueuse.

Garder son jardin secret (et ne pas courir deux lièvres à la fois)

Chez AJEM Consultants, nous ne sommes pas fans des directions communes. Un directeur marketing et commercial ne doit pas être tiraillé entre atteindre ses objectifs commerciaux et finaliser ses actions marketing … On ne le dira jamais assez : commercial et marketeur, e n’est pas le même métier!

Il est important de conserver une certaine autonomie. Les directeurs marketing et commerciaux doivent être libres de poursuivre leurs objectifs respectifs tout en contribuant à l’objectif global de l’entreprise. Un équilibre entre autonomie et collaboration est essentiel pour maintenir une relation saine et productive.

Bref question alignement Sales Marketing : Amoureux mais pas fusionnels non plus …

En conclusion, l’alignement entre les ventes et le marketing est une entreprise complexe mais gratifiante. En suivant les principes de collaboration, de compréhension mutuelle, de centrage sur le client et de respect, les entreprises peuvent surmonter les tensions passées et construire une relation solide et durable entre ces deux départements essentiels.

Envie ou besoin d’aller plus loin ? Contactez-nous pour mettre en place un accompagnement de vos équipes et une nouvelle organisation plus collaborative et un alignemet sales marketing sous forme de coaching, de recommandations, de plans d’actions ou de formation.


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créer sa semaine type

Gestion du temps : créer sa semaine type pour travailler plus sereinement et atteindre ses objectifs

Vous utilisez votre agenda, vous planifiez et pourtant vous n’arrivez pas à atteindre vos objectifs ? Vous avez toujours autre chose à faire et quand vous vous y mettez, vous êtes dérangé par maman qui appelle, le commercial qui a besoin de vos chiffres, les réunions que vous avez oubliées. Découvrez un outil de gestion du temps qui a fait ses preuves : créer sa semaine type !

Il vous permettra de travailler au bon moment et plus sereinement en positionnant les tâches les plus importantes au bon moment.

Voici 3 outils pour optimiser son organisation au quotidien en utilisant le time blocking, le time boxing et le batch timing. Cela vous permettra de gagner en efficacité mais aussi et surtout de travailler au bon moment !

Avant de se lancer pour créer sa semaine type

Avant de vous lancer, vous devez au préalable avoir compris un certain nombre de concepts et déjà mis en place plusieurs outils de la gestion du temps : 

  • Savoir prioriser vos tâches et disposer d’un outil pour gérer votre agenda et vos tâches :   vous devez vous munir d’un support pour planifier et lister vos tâches de type agenda papier ou solution numérique
  • Avoir identifié vos tâches A B et C et ce qui est vraiment important pour atteindre vos objectifs : au préalable vous devez connaître quelles sont les tâches les plus importantes pour vous permettre de prioriser correctement et placer les tâches A le matin de préférence.
  • Avoir compris le principe du TimeBoxing , du Batch Timing et du TimeBlocking : il vous connaître les outils qui vous permette de grouper les tâches similaires, placer vos tâches dans des blocs et savoir bloquer du temps pour ces mêmes tâches.

Ces outils sont indispensables pour vous lancer dans la construction de votre semaine type.

Les étapes pour créer sa semaine type

Voici les différentes étapes pour créer vote semaient type et surtout la respecter

  1. Préparer le terrain en se munissant des bons outils

Vous devez disposer de la liste des tâches à faire et surtout de celles qui sont récurrentes et reviennent d’une semaine à l’autre : tâches administratives, reporting, missions clients, réunions périodiques, management, face à face, etc.

Il vous faut votre agenda, idéalement avec des codes couleurs.

  1. Utiliser le time blocking et le time boxing

Commencez par bloquer des créneaux horaires pour planifier la semaine dans votre agenda en tenant compte de :

  • La saisonnalité (par exemple les experts-comptables sont à bloc en début d’année avec la période fiscale alors que les restaurants eux sont fermés)
  • La courbe des dérangements (quand êtes-vous dérangé par vos collègues, vos clients, votre famille, etc.)
  • Le rythme de l’entreprise (amplitude horaire, réunions etc.)
  • Votre vie perso (Pilates, théâtre, enfants à récupérer etc.)
  1. Positionner les tâches en tenant compte des principes de la gestion du temps

Regroupez les tâches qui peuvent l’être et positionnez-les dans la semaine en fonction de leur typologie (A, B ou C) en tenant compte de vos contraintes.

Pensez à positionner également vos journées de télétravail.

Pensez à vous laisser des marges de sécurité (ne pas planifier plus de 60% des activités)

Et conservez 20% pour absorber les urgences et les imprévus (qu’il y aura toujours).

La bonne idée : Vous pouvez également travailler sur deux semaines type par exemple ou sur un mois si vous êtes  parent en garde partagée ou que vous avez un rythme spécifique de télétravail.

  1. Soyez visuels et créatifs

N’hésitez pas à utiliser des codes couleurs pour vous repérer plus rapidement :

  • Bleu : coups de téléphone et RDV téléphoniques
  • Vert : Réunions
  • Rouge : Création
  • etc.

Vous pouvez également utiliser des agendas différents regroupés au sein d’un même espace (ou document) avec des couleurs différents.

Voici un exemple :

créer sa semaine type créer sa semaine type

Important : vous pouvez planifiez tout ce que vous voulez, vous aurez toujours des imprévus. C’est la vie c’est normal ! Vous pouvez vous entrainer mais ne pourrez pas

Créer sa semaine type : comment s’y prendre concrètement

Vous avez besoin de :

  • Plusieurs post its de couleurs différentes
  • Un feutre
  • Un paper board

créer sa semaine type

Appliquez-vous à dessiner votre agenda hebdomadaire en y intégrant les 7 jours.

Listez sur des papiers de mêmes couleurs les tâches qui relèvent des mêmes thématiques :

  • Enfants
  • Sports
  • RDV
  • Travail administratif
  • Tâches de production
  • Tâches de création
  • etc.

Placez vos contraintes personnelles en premier : récupérer les enfants, la danse le vendredi soir, le foot le mercredi à 18h00 etc.

Placez également vos journées de télétravail s’ils sont contraints.

Positionnez ensuite les différentes tâches en privilégiant le début et la fin de de semaine pour les taches récurrentes, d’amélioration continue et qui nécessitent peu d’interactions et le mardui et le jeudi pour les autres tâches.

Placez les tâches de type A le matin.

créer sa semaine type

Voilà ce que cela peut donner :

 

créer sa semaine type

Grâce à ces bonnes habitudes, vous pourrez réduire la procrastination, travailler de façon plus efficace et travailler au meilleur moment.

N’hésitez pas à nous contacter pour plus d’information sur nos formations en gestion du temps.

Retrouvez nos autres articles sur la gestion du temps:

Gestion du temps : 3 outils pour optimiser son organisation au quotidien (et travailler au bon moment !)

Gestion du temps : 3 méthodes indispensables pour planifier efficacement ses journées et gagner jusqu’à 1 heure

Gestion du temps : Et si vider sa boite de réception mentale était le premier pas pour améliorer sa gestion du temps ?

Gestion du temps : 4 actions (simples et efficaces) à mener d’urgence pour mieux gérer sa boite mail


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outils pour optimiser son organisation

Gestion du temps : 3 outils pour optimiser son organisation au quotidien (et travailler au bon moment !)

Vous avez pris l’habitude de planifier vos activités et pourtant vous n’êtes pas encore au point ? Vous travaillez encore trop souvent dans l’urgence ou vous ne parvenez pas à finaliser vos dossiers dans les temps ? Voici 3 outils pour optimiser son organisation au quotidien en utilisant le time blocking, le time boxing et le batch timing. Cela vous permettra de gagner en efficacité mais aussi et surtout de travailler au bon moment !

Prérequis : 3 concepts à comprendre pour connaître le bon moment pour travailler

Tenir compte de votre cycle d’efficacité

Un proverbe populaire dit « L’avenir appartient à ceux qui se lèvent tôt ».

outils pour optimiser son organisation

En effet, les rythmes biologiques déterminent le potentiel d’efficacité. Même s’il existe des différences entre les individus mais il y a des points communs :

  • Un rendement maximum le matin
  • Une chute d’activité après le repas
  • Un stade intermédiaire en fin d’après midi
  • Et une décroissance et le point le plus bas après minuit

Connaître la courbe des dérangements journaliers

Au cours de la journée, la majorité des collaborateurs subit des dérangements qui sont souvent identiques.

outils pour optimiser son organisation

Vous devez repérer le rythme des dérangements en fonction de votre secteur d’activité et de votre organisation interne. Par exemple, un négoce en bâtiment sera dérangé le matin tôt par les artisans qui ont des urgences et seront plus au calme vers 10 h.

Cela nécessite aussi pour certains secteurs d’intégrer la saisonnalité comme dans le tourisme ou la restauration.

Intégrer les pauses pour rester efficace

La valeur de rendement de la concentration sur 60 minutes (moyenne) est la suivanteoutils pour optimiser son organisation

En tenant compte de ces trois points, vous allez pouvoir utiliser ces 3 outils de gestion du temps.

Outil n°1 : Le TimeBoxing pour éviter de perdre du temps sur des tâches simples et procrastiner

Vous aviez prévu une tâche sur 45 minutes qui va vous occuper tout une journée ?  Sans limites de temps, vous avez tendance à faire durer notre travail.

C’est la loi de Parkinson, « le travail augmente jusqu’à occuper entièrement le temps qui lui est affecté ».

Le Timeboxing (ou gestion par blocs de temps en français) est un outil de gestion du temps pour éviter de procrastiner et pour se concentrer sur le travail à forte valeur ajoutée.

Le concept repose sur le fait d’attribuer une durée précise à chaque tâche et de travailler par objectif

outils pour optimiser son organisation

Pour chaque « timebox » ou bloc de temps créé, il s’agit de se fixer pour objectif de réaliser cette tâche dans un temps donné. Cette méthode permet de planifier des tâches individuelles ainsi que des tâches pour votre équipe.

Outil n°2: le Batch Timing pour grouper des tâches de même nature

Le Batch Timing c’est comme le batch cooking mais en moins calorique. L’idée est de regrouper des tâches similaires pour les rassembler. Ce regroupement permet une concentration optimale et une efficacité accrue. Par exemple, cela peut fonctionner pour des coups de fil à passer, des RDV téléphoniques, des factures à générer, des e-mails à lire et traiter.

outils pour optimiser son organisation

Une fois regroupées, ces tâches seront planifiées selon la méthode Time Blocking.

Outil n°3 : le Time Blocking pour travailler de façon proactive

Le Time Blocking (gestion par blocage de temps) consiste à dédier des segments de votre journée à des tâches spécifiques pour optimiser l’emploi du temps.

Vous réservez des créneaux à des activités spécifiques et définies que ce soit pour des périodes de travail intensif, la gestion de tâches récurrentes, le sport, etc.

Plutôt que d’être dans la réaction, vous passez en mode action. Vous travaillez de façon plus proactive en définissant des plages à des activités essentielles, réduisant ainsi les effets du surmenage et du manque de déconnexion.

Voici comment procéder :

  1. Regrouper les tâches avec le batch timing (voir paragraphe précédent).
  2. Choisir les meilleurs moments pour placer les différentes tâches en fonction de chaque rythme d’efficacité et des dérangements
  3. Planifier de façon visuelle en utilisant des couleurs par exemple par typologie de tâches
  4. Tenir vos engagements et faire savoir que vous n’êtes pas disponible quand c’est nécessaire.

 

Conclusion : l’idée n’est pas de travailler plus, c’est travailler mieux et au bon moment !

Organisez votre journée selon vos cycles d’efficacité et faites des pauses courtes et régulières.

Groupez les tâches de même nature, bloquez du temps pour des tâches précises et déterminer des blocs de temps avec une durée déterminée pour des tâches bien définies.

 

Grâce à ces bonnes habitudes, vous pourrez réduire la procrastination, travailler de façon plus efficace et travailler au meilleur moment.

N’hésitez pas à nous contacter pour plus d’information sur nos formations en gestion du temps.

Consultez nos autres articles:

Gestion du temps : 3 méthodes indispensables pour planifier efficacement ses journées et gagner jusqu’à 1 heure

Gestion du temps : Et si vider sa boite de réception mentale était le premier pas pour améliorer sa gestion du temps ?

Gestion du temps : 4 actions (simples et efficaces) à mener d’urgence pour mieux gérer sa boite mail

Gestion du temps : créer sa semaine type pour travailler plus sereinement et atteindre ses objectifs


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Gestion du temps : 3 méthodes indispensables pour planifier efficacement ses journées et gagner jusqu’à 1 heure

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Vous avez compris l’importance de planifier votre journée, vous avez acheté votre agenda papier ou enfin regardé les fonctionnalités de votre agenda digital mais vous ne savez pas comment vous y prendre pour tenir le rythme ? Comment faire pour planifier efficacement ses journées en gérant au mieux ses priorités ? C’est ce que nous allons découvrir dans ce blog.

8 minutes de planification = 1 heure de travail en moins ! Cela vaut le coup de planifier efficacement ses journées !

 

La règle de base dans la gestion du temps : accepter de perdre du temps pour en gagner !

L’idée est de passer du remps à planifier intelligemment et de le prévoir dans sa journée. En général en début de journée pour visualiser les temps forts de la journée mais aussi le soir avant de quitter son bureau pour vérifier ce qui a été fait et replanifier ce qui doit l’être.

Outil n°1 pour planifier efficacement ses journées : la méthode NERACaméliorer sa gestion du temps méthode neracLa méthode NERAC a un avantage majeur : elle est simple et efficace et repose sur 5 principes majeurs :

  1. Noter : Inscrivez tout ce qui est doit être fait dans la journée et pas uniquement vos RDV à savoir : Ce qui n’a pas été fini la veille, les nouvelles tâches, les communications à réaliser (téléphone, mails, courriers …), les tâches récurrentes ou à heures fixes, votre cours de Pilates, etc.
  1. Estimer : évaluez ensuite la durée qu’il vous faudra pour réaliser la tâche en question en faisant bien attention à ne pas surévaluer, ni « sur planifier ».
  2. Réserver : bloquez votre temps pour faire les tâches prioritaires (pas forcément les plus urgentes, voir paragraphe suivant) tout en vous rappelant que vous ne devez pas planifier plus de 60% de votre temps.
  3. Arbitrer : priorisez vos tâches en vous appuyant sur plusieurs méthodes : la méthode ACTE qui impose de prendre une décision sur chaque tâche, la matrice d’Einsenhover et la gestion des tâches prioritaires (voir paragraphes suivants).
  4. Contrôler : en fin de journée, pour chaque tâche vérifiez son « statut » : soit elle est finie et vous barrez la tâche de l’agenda (ô joie !), soit elle s’est réglée d’elle-même, soit elle n’est pas terminée et elle doit être reportée au lendemain. Replanifiez-la dans l’agenda.

Outil n°2 pour planifier efficacement ses journées : la métaphore des gros cailloux

Peut-être connaissez-vous la métaphore des cailloux ? Elle est souvent utilisée dans les formations sur la gestion du temps car son message est simple et reste à l’esprit.

Il était une fois… un expert renommé qui tenait une conférence sur la façon de gérer sa vie. Il propose une expérience à son public : il prend un grand bocal de verre et le remplit de gros cailloux puis demande : : « Le bocal est-il plein ? » Tout le monde répond : « Oui ». Il prend alors un sac avec des petits galets et les verse dans le bocal. Ils se placent entre les cailloux et il pose la même question : « Le bocal est-il plein ? » Tout le monde répond : « Oui ». Il prend ensuite un sac de sable qu’il verse dans le bocal et qui, bien sûr se faufile entre les pierres. Il conclut en expliquant que l’expérience en question démontre que, pour remplir le bocal, il faut commencer par les gros cailloux avant de mettre les plus petits. Bref les gros cailloux doivent être nos priorités. Bien planifier sa journée de travail, c’est donc placer d’abord ses gros cailloux dans son planning.

gestion du temps planifier efficacement ses journées 3

 

Dans nos formations, nous proposons une classification :

  • Tâches A = très important = gros cailloux = tâches primordiales qui ne peuvent être déléguées
  • Tâches B = important = galets = tâches d’importance moyenne qui peuvent être déléguées
  • Tâches C = moins important = sable = tâches avec des valeurs minimes dans votre fonction qui peuvent être déléguées ou éliminées

Pour déterminer vos tâches A, B et C, nous travaillions sur vos tâches essentielles au regard des objectifs de votre poste et de votre mission.

Outil n°3 pour planifier efficacement ses journées : la matrice d’Enseinhover

gestion du temps planifier efficacement ses journées 4Vous la connaissez tous mais vous avez déjà surement oublié son utilité. C’est un outil de gestion du temps et de priorisation des tâches permet d’arbitrer en prenant en compte deux paramètres : l’urgence et l’importance :

  • Urgent : qui ne peut pas attendre, qui présente une échéance proche
  • Important : qui a de la valeur, un intérêt, un rôle considérable pour atteindre les objectifs

Sur la base de ces deux critères, la matrice divise les tâches en quatre catégories.

Commençons par les cas les plus simples :

  • Urgent et Important : Ces tâches nécessitent une action immédiate et sont cruciales pour atteindre vos objectifs. Elles doivent être traitées en priorité. Pas de discussion sur le sujet.
  • Ni Urgent ni Important : Ces tâches ne sont ni pressantes ni significatives pour atteindre vos objectifs principaux et doivent être évitées dans la mesure du possible.

Voici à présent celles qui présentent le plus de risques :

  • Important mais Pas Urgent : Ces tâches contribuent à vos objectifs à long terme mais n’ont pas besoin d’être traitées immédiatement. Le souvent, nous avons tendance à les reléguer à plus tard et elles finissent souvent par devenir urgentes et importantes. L’idée est de les planifier (donc les mettre dans l’agenda) et de mettre des rappels, voire de les découper en plus petites tâches.
  • Urgent mais Pas Important : Ces tâches sont pressantes mais ne contribuent pas directement à vos objectifs majeurs. Elles peuvent souvent être déléguées ou évitées si possible car « il n’y a pas d’urgence, seulement des gens pressés ! ».

En classant vos tâches dans cette matrice, vous définissez sur quoi vous concentrer.

Conclusion : planifier mais planifier intelligemment si vous voulez tenir le cap !

L’objectif est de prioriser les tâches importantes et de minimiser le temps passé sur les tâches non importantes et non urgentes. Cela va vous aider à accroître l’efficacité personnelle et à atteindre des objectifs à long terme de manière plus efficace. En planifiant au bon moment les tâches les plus importantes, vous êtes plus efficace et surtout plus zen en fin de journée !

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Gestion du temps : Et si vider sa boite de réception mentale était le premier pas pour améliorer sa gestion du temps ?

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Vous avez du mal à gérer votre temps, vous vous sentez désorganisé(e), débordée ? Votre cerveau bouillonne, voire déborde ? Vous avez souvent l’impression d’avoir la tête comme une citrouille ? de ne pas savoir quelle tâche prioriser ? Comme votre boite de réception mail, vous disposez d’une boite de réception mentale qui stocke toutes les tâches et informations qui vous parviennent. Voici comment vider votre boite de réception mentale et devenir à la fois plus serein et plus efficace.

Améliorer sa gestion du temps en vidant sa boite de réception mentale : késako ?

Toute la journée, des tâches, des informations, des données nous « arrivent ». Nous les stockons dans un premier temps dans notre cerveau qui sert de de boite de réception.

A force de stocker ces informations sans en faire quoi que ce soit, elles finissent par remplir notre boite de réception mentale, qui, complètement pleine, nous empêche de réfléchir.

Nous nous mettons alors à penser à tout ce qui est dans notre tête, avec la peur de ne pas réussir à tout faire et surtout avec le sentiment de ne plus savoir quoi prioriser.

améliorer sa gestion du temps boite de réception mentale

Votre cerveau se comporte comme votre boite de réception mail. Comme elle, quand elle est remplie, elle déborde, elle sature, elle ne peut plus rien accepter, tout est en vrac …

Bref il faut la vider !

Règle n°1 : Vider régulièrement sa boite de réception mentale dans sa TO-DO-LIST

L’idée est donc de vider régulièrement votre boite de réception mentale comme vous feriez avec vos mails en prenant une décision pour chacune des tâches stockées dedans.

Comme pour votre boite mail, vous allez devoir arbitrer et décider si vous devez :

  • AGIR tout de suite : mais avant tout devez définir si c’est le bon moment pour le faire (ce sera l’objet d’un autre article de blog)
  • PLANIFIER de façon formelle en inscrivant la tâche dans votre agenda à une date donnée
  • DELEGUER si vous le pouvez et si cela se justifie
  • CLASSER ou ELIMINER (et oui certaines taches ne doivent pas être réalisées ni par vous ni par personne !)

Vous allez ainsi remettre de l’ordre dans votre cerveau, le libérer de ses contraintes en déposant ce qui l’encombre afin de réduire  le stress lié au fait que les tâches « stagnent » et ne sont pas « rangées ».

 

Vider sa boite de réception mentale c’est :

  • Libérer votre cerveau pour lui permettre de se centrer sur les tâches vraiment importantes
  • Être moins stressé car chaque information est « rangée » et à sa place (le dséordre est source de stress c’est prouvé scientifiquement)
  • Partager l’information et mieux collaborer (personne ne sait lire dans votre tête !).

Règle n°2 : planifier ses actions plutôt que de les laisser dans sa TO-DO-LIST

Vider sa boite de réception mentale va principalement consister à planifier les tâches qui y sont stockées.

Pour chaque tâche stockée  vous allez avoir prendre une décision : faire, éliminer, transmettre, déléguer ET la plupart du temps planifier !

Triez et une fois qu’il ne vous reste plus que les tâches à planifier, vous pouvez alors les mettre dans une TO-DO-LIST (papier ou en utilisant les Notes de votre smartphone ou de votre ordinateur).

Pourquoi planifier par écrit ?

  • Pour avoir une vue d’ensemble
  • Pour alléger votre charge de travail
  • Pour vous auto-motiver
  • Pour avoir une meilleure concentration
  • Pour contrôler et atteindre vos objectifs
  • Pour mieux collaborer en partageant les données

Comment se lancer ? En planifiant déjà une première journée

La journée est l’unité la plus petite pour planifier des tâches et elle est facilement supervisable

De plus, les objectifs journaliers sont plus faciles à atteindre et par là-même plus motivants.

Comment procéder ? Avec la méthode NERAC : Noter Évaluer Arbitrer Réserver Contrôler

Pour planifier commencez par vous munir de votre  TO-DO-LIST et de votre outil de planification :

La question qui tue ? Faut-il être Team digital ou Team papier ?

Les méthodes sont les mêmes, choisissez juste un outil avec lequel vous êtes à l’aise.

– Option Team digital :  vous êtes déjà équipé : votre téléphone, vos suites bureautiques (Google, Microsoft, Apple) feront l’affaire. Favorisez la synchronisation et les automatismes.

– Option Team papier : Optez pour un agenda qui vous plait. Nous vous recommandons le Clipbook de Filofax et ses recharges.

Perso, nous n’avons jamais pu choisir : nous utilisons les outils Apple ET un bon Filofax !

Ensuite optez sans hésiter pour la méthode NERAC, la meilleure solution pour améliorer sa gestion du temps et des priorités.

améliorer sa gestion du temps méthode neracNoter : Inscrivez tout ce qui est important et pas uniquement les RDV dans une To-DO-LIST (après avoir vidé votre boite de réception mentale) puis sélectionnez les tâches à accomplir en y ajoutant

  • Ce qui n’a pas été fini la veille
  • Les nouvelles tâches
  • Les délais
  • Les communications à réaliser: coups de téléphone, mails, courriers …
  • Les tâches récurrentes ou à heures fixes

Estimer : évaluez la durée qu’il vous faudra pour mener à bien votre tâche en prenant garde de

  • Ne pas surévaluer, ni « sur planifier » pour éviter la frustration
  • Gérer votre budget temps en bous imposant que chaque heure imputée doit être respectée
  • Anticiper et limiter les facteurs de dérangement

Réserver : bloquez du temps pour faire les choses mais restez souple dans votre planification car vous aurez toujours 20% de votre temps qui sera occupé par les imprévus. Comptez-les dans votre planification en ne sur bookant pas votre journée !

gestion du temps planifier efficacement ses journées 2

Arbitrer : faites des choix pour prioriser vos tâches en vous imposant d’agir, classer, déléguer, transmettre ou éliminer avec des règles d’arbitrage simples intégrant les priorités ainsi que la méthode et le moment pour agir. C’est la méthode ACTE (pour Agir, Classer, Transmettre, Eliminer).

améliorer sa gestion du temps la méthode ACTE

Contrôler : Vérifiez à postériori en rendant positive l’obligation de finir un travail en cours. En fin de journée, pour chaque tâche vérifiez son « statut » :

  • Vous avez fini, la tâche est terminée et vous barrez avec joie la tâche sur votre agenda !
  • L’affaire s’est réglée d’elle-même, vous l’effacez.
  • La tâche n’est pas terminée et elle doit être reportée au lendemain ou à une date ultérieure : vous notez la tâche dans votre agenda à la bonne date.

Et maintenant il s’agit de passer à l’action pour planifier et améliorer sa gestion du temps !

Les journées sont un perpétuel recommencement : commencer par planifier la journée de demain en utilisant la méthode du vidage de la boite de réception mentale.

Notez tout dans une TO-DO-LIST puis « piocher » dedans et planifiez chaque tâche dans votre agenda.

Votre TO-DO-LIST ne sera jamais vide mais votre esprit lui sera bien plus libre !

En commençant avec la planification d’une journée et en couplant avec le « vidage de votre boite de réception mentale » vous allez finir par réussir à remplir votre agenda !

Pour aller plus loin vous pouvez consulter d’autres articles sur la gestion du temps :

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Gestion du temps : 4 actions (simples et efficaces) à mener d’urgence pour mieux gérer sa boite mail

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Ou nous contacter pour programmer une formation dans votre entreprise sur ce sujet !


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Mieux gérer sa boite mail

Gestion du temps : 4 actions (simples et efficaces) à mener d’urgence pour mieux gérer sa boite mail

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Débordé(e)? Sous l’eau? Ultra sollicité(e) ? Pour vider votre boîte mentale de réception pourquoi ne pas commencer par vider votre boîte mail ou, au moins, à mieux la gérer et à vous désintoxiquer ?

Nous constatons régulièrement lors de nos formations en gestion du temps que près de 80% des apprenants ont un problème de gestion de leur boîte mail. Ce sujet est devenu un vrai problème pour gérer notre temps car cela peut nous occuper jusqu’à 1h pendant la formation !

Cela s’appelle la pénibilité numérique… Voici quelques astuces rapides et facile à mettre en œuvre pour vous désintoxiquer de votre boute mail et en faire un putil plutôt qu’une contrainte

Mieux gérer sa boite mail c’est possible et ça commence par une prise de conscience

La pénibilité numérique : les chiffres qui font peur !

Voici quelques chiffres qui auront le mérite de vous faire réfléchir sur la place qu’occupe la fameuse boite mail dans notre vie

  • Nous consultons en moyenne notre messagerie toutes les 15 minutes
  • Nous passons jusqu’à 30 heures par semaine à lire et écrire ses emails
  • 70% des employés déclarent interrompre ce qu’ils font lorsqu’une notification apparaît
  • La fonction « répondre à tous » génère 25% des emails et la fonction « mettre en copie » 30% des mails

5 symptômes qui prouvent que vous devez agir vite pour mieux gérer votre boite mail

  • Vous avez l’impression d’avoir toujours 100 mails non lus en permanence dans sa boite mail
  • Vous subissez l’arrivée de notifications intempestives en permanence
  • Chaque arrivée de mail vous fait soupirer
  • Vous vous sentez obligé(e) de répondre immédiatement à tous vos mails…
  • Vous répondez à vos mails le dimanche à 22h00

Voici 4 pistes pour mieux gérer votre boîte mail et en finir avec l’addiction à la boite mail !

Prérequis : Réduisez la tyrannie de votre messagerie en réduisant la consultation de façon drastique

Toute la journée vous regardez vos mails. Mais POUR QUOI faire ? Pensez-vous vraiment qu’une catastrophe va se déclencher si vous ne regardez pas votre boite mail toutes les 5 minutes ?

Pour commencer, rappelez-vous que le mail n’est pas un outil de communication d’urgence (le téléphone, le sms, les pieds pour aller dans le bureau du collègue sont plus appropriés dans 95% des cas)

Ensuite rappelez-vous également que vous n’êtes pas payé pour répondre à des mails(sauf dans quelques rares cas) et que votre valeur ajoutée est de faire votre métier (plombier, directeur technique, ingénieur qualité, chef de produit, BDR, etc.)  et non d’écrire et de lire des mails !

Notre premier conseil est donc de vous sevrer !

Limitez la consultation de la boîte mail à 3 fois par jour (si si vous verrez qu’aucun tsunami n’apparaitra à l’horizon, vous allez même constater que c’est facile, c’est puissant et efficace et vous nous remercierez !)

Mieux gérer sa boite mail

Faites confiance à la technologie

La technologie n’est pas seulement là pour nous faire peur, elle est aussi là pour nous aider au quotidien. A vous de voir ce qu’elle peut faire pour vous. Il n’y a pas de solution miracle mais pas mal de choses peuvent être faires plus efficacement grâce à elle :

  • Utilisez les modes concertation disponibles sur vos téléphones portables et vos ordinateurs (que ce soit PC ou Mac, Android ou iOS) pour limiter les notifications. Leur principal avantage est de vous permettre de supprimer les notifications inutiles tout en continuant d’autoriser les notifications et/ou appels.
  • Utilisez tous les outils merveilleux de votre logiciel de messagerie qui permettent de ranger aisément ses mails (créer des dossiers et des règles automatiques), accéder plus vite à l’information (épingler les posts, exploiter les boites intelligentes, utiliser les drapeaux, etc).
  • Vous désabonnez des newsletters jamais lues et désactivez les notifications « non essentielles » ou réduisez-les avec le principes des résumés programmés

 

Utilisez l’email à bon escient et en respectant ses règles d’usage

Nous sommes souvent nos propres bourreaux.

Réfléchissez avant de mettre la moitié de l’entreprise en copie d’un mail et utilisez l’objet du mail pour indiquer les actions à venir (ex: réponse pour le 12 mars, etc.)

Autre point clé, pas besoin d’être 50 sur une « conversation mail». Ce n’est pas un groupe Facebook ou Whatsapp.  Limitez les conversations avec plus de 5 personnes dans la boucle et surtout appelez ou allez voir la personne concernée au-delà de 3 courriels échangés sur un sujet.

Rappelez-vous, avec le mail, nous n’avons ni son, ni image les échanges par mail peuvent vite devenir complexes, chronophages et nous induire en erreur sur les intentions de votre interlocuteur (pourquoi il a mis des majuscules Raoul de la Compta ? il est énervé le gars ?).

 Mieux gérer sa boite mail

Et surtout faites-vous violence pour appliquer toutes les règles ci-dessus

Tout ne fonctionnera peut être pas pour vous ou peut-être ne tenterez-vous pas tout de suite le défi de ne regarder votre boite que 3 fois par jour, mais vous pourrez sûrement trouver dans cette liste une ou deux bonnes idées à exploiter dès demain !

Pour aller plus loin, vous pouvez participer au Challenge #JusteFaisLe “4 semaines pour mieux gérer votre temps” sur Linkedin ou décider de participer à notre prochaine formation « Mieux gérer son temps et ses priorités ».

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Gestion du temps : Et si vider sa boite de réception mentale était le premier pas pour améliorer sa gestion du temps ?

Gestion du temps : créer sa semaine type pour travailler plus sereinement et atteindre ses objectifs

Source: 1er Observatoire de l’infobésité et de la collaboration numérique (OICN), réalisé par la startup Mailoop 15/05/2023


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utiliser le golden circle

Comment utiliser le Golden Circle de Simon Sinek, cet outil dont vous ne pourrez plus vous passer !

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Vous avez tous entendu parler du Golden Circle de Simon Sinek mais vous ne voyez pas forcément comment se servir de cet outil ? Vous vouler utiliser le Golden Circle mais vous en savez pas comment utiliser cet outil théorique ? Il fait beau beau mais a-t-ilune réelle application (dans la vraie vie) ?  Il n’y a pas de mal à ça car au-delà de permettre se la péter lors des soirées réseau de la Cci du coin, le Golden Circle trouve avant tout son utilité dans deux mission marketing très concrètes: la rédaction de la plateforme de marque et la construction d’un argumentaire et/ou de la proposition de valeur de l’entreprise et de ses offres. Découvrez comment booster votre impact marketing grâce au Golden Circle.

Le Golden Circle c’est quoi le concept ? Réponse: « Start with Why »

C’est une notion abordée par Simon Sinek lors d’un TEDX en 2009 où il a expliqué très simplement comment les grands leaders (Steve Jobs, Martin Luther King, les frères Wright) inspirent l’action. Comment une entreprise telle que Apple continue d’innover et de donner envie à leurs clients de les suivre dans leur aventure ?Comment font-ils pour se différencier alors que d’autres concurrents partent avec les mêmes cartes en main.

La recette, selon lui, réside dans le fait qu’elles prennent le « problème »  à l’envers. Ils communiquent à l’inverse de tous les autres.

utiliser le golden circle

Au lieu de dire ce qu’ils font, comment ils le font et pourquoi ils le font – traduisez : nous, Apple, faisons des ordinateurs formidables car ils sont bons conviviaux et ont un beau design – ils commencent par dire pourquoi ils le font ?

Ils commencent par expliquer pourquoi ils se lèvent le matin. Ils communiquent de l’intérieur vers l’extérieur.

Ce qui donne à peu près cela : Chez Apple, tout ce que nous faisons nous le faisons pour changer le statut quo, parce que nous pensons qu’il y a une autre façon de penser. La façon de mettre en œuvre cette vision est de créer des ordinateurs superbement designés et conviviaux. Donc nous faisons des ordinateurs formidables.

En gros l’idée de Simon Sinek pour communiquer n’est pas de se regarder le nombril mais de regarder vers l’extérieur en expliquant ce que l’on peut apporter au monde et donc à nos clients.

Il s’agit donc de se concentrer sur le WHY :

  • Quoi: Toutes les organisations, entreprises, personnes savent ce qu’elles font, c’est le « What »
  • Comment: Certaines savent “comment” ils le font, c’est ce que l’on appelle la proposition de valeur qui marque leur différence, c’est le « How ».
  • Pourquoi : Elles sont peu nombreuses à savoir « pourquoi » elles font ce qu’elles font, c’est le « Why ». Ce sur quoi nous allons nous concentrer à présent car il va nous permettre d’être plus performant pour créer une plateforme de marque et rédiger la proposition de valeur qui va avec

Utiliser le Golden Circle pour rédiger son discours de marque et y puiser sa mission, sa vision, ses valeurs

Par nature, la plateforme de marque est un ensemble d’éléments qui définissent l’essence de l’entreprise.  Elle est unique à chaque entreprise pour la bonne et simple raison qu’elle en est l’ADN. Qui suis-je ? D’où viens-je ? Pourquoi je me lève le matin ? Qu’est-ce que mon entreprise va apporter au monde, à mes collaborateurs, à moi ?

Elle incarne l’identité de sa marque ou de son entreprise, sur la forme et sur le fond et la formaiser permet de :

  • Disposer d’un discours unique et partagé
  • Formaliser la valeur ajoutée de l’entreprise pour tous
  • Décliner plus facilement le discours sur les outils marketing et commerciaux
  • Pitcher aisément
  • Identifier des sujets de prise de paroles et de contenus (blog, ateliers, webinar, etc.)

Le Golden Circle va vous aider à définir plus facilement les piliers de votre plateforme de marque :

  • Le Why va être essentiel pour vous aider à définir
    • La vision : Vers quoi allons-nous ? Quel est le but à atteindre ? Comment voyons-nous notre métier et notre secteur d’activité ?
    • Les valeurs : Quelles sont les valeurs que nous défendons dans notre approche et nos produits ? Quels sont nos atouts, nos qualités ?
  • Le How sera votre outil pour décrire votre mission : Quelle est notre raison d’être ? À quoi servons-nous ?
  • Le What servira à définir votre métier : Qui sommes-nous ? Comment définir notre métier ? Que proposons nous à nos clients ?

 

Coupler le schéma de pensée du Golden Circle avec la méthode BAC pour rédiger votre proposition de valeur et votre discours produit.

La proposition de valeur quant à elle répond aux questions suivantes : Quelle est notre valeur ajoutée ? En quoi sommes-nous uniques pour nos clients ? A quels enjeux répondons-nous ? Quels sont les bénéfices que nous apportons à nos clients ?

construire un argumentaire percutant

C’est une déclaration concise qui résume les avantages concurrentiels clés que votre entreprise offre à ses clients et pourquoi ils ont choisi votre offre plutôt que celle de vos concurrents. Elle est généralement énoncée dans la plateforme de marque au même titre que la mission, la vision, le métier et les valeurs de l’entreprise.

La méthode BAC (Bénéfices Arguments Caractéristiques) est la technique que nous utilisons le plus souvent chez AJEM Consultants pour élaborer un argumentaire et une proposition de valeur percutants.

Votre argumentaire va lister des bénéfices qui s’appuieront sur des arguments eux-mêmes-illustrés par des caractéristiques de l’offre.

 bac et golden circle ajem consultants

B comme Bénéfices.

Les bénéfices sont les avantages que votre solution apporte à vos interlocuteurs et qui leur permettent de répondre à leurs enjeux et problématiques
Vous pouvez les lister en partant du centre du cercle, à partir du WHY en vous posant les bonnes questions: Pourquoi mes clients achètent chez moi ? Pourquoi mes solutions répondent à leurs enjeux et leurs besoins ? pourquoi ont-ils confiance en moi ?

A comme Arguments.

Ce sont des avantages soutenus par des faits et des qui répondent aux besoins ou aux attentes de tous ceux qui sont concernés.
Le HOW va vous aider à trouver vos arguments en vous permettant de vous demander : Comment j’apporte des bénéfices à mes clients ? Comment puis-je prouver que je réponds à leurs besoins ?

 

C comme Caractéristiques.

Ce sont les éléments marketing et techniques du sujet, du produit, du service, etc. (prix, technologie, usage, références, etc.) qui soutiennent les arguments. Ces éléments sont généralement très factuels : taille, poids, durée de vie, puissance mis aussi références clients, années d’existence d’une entreprise, prix reçus, nombre de clients, etc.
Le WHAT vous apporte la réponse en fournissant des preuves :  Quelle caractéristique de mon produit crédibilise mon discours ? Quel est mon produit ? que fait-il ?

Vous l’avez vu, Le Golden Circle est un outil est très puissant que nous aimons utiliser pour accompagner nos clients dans la construction de leur positionnement et de leurs argumentaires.

N’hésitez pas à nous contacter pour savoir comment nous pouvons vous accompagner.

Pour aller plus loin :

Guide de survie du commercial (et du chef de produit) : Comment construire un argumentaire percutant avec la méthode BAC

Créer une plateforme de marque : may the force of the brand platform be with you


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coaching opérationnel marketing et commercial

Le Coaching Opérationnel marketing et commercial : la meilleure façon de passer de la tête aux jambes

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Quand on est manager ou dirigeant, il n’est pas toujours facile de concilier quotidien et stratégie, plan d’action et mise en œuvre, fixation des objectifs et moyens de les atteindre, bref de gérer de front l’opérationnel et le stratégique. Le coaching opérationnel marketing et commercial est un outil pour passer de la tête aux jambes, tout en réalisant un transfert de compétence grâce au principe du « learning by doing ». Voici comment vous pouvez donner une impulsion immédiate à vos projets et votre stratégie grâce au coaching opérationnel marketing et commercial.

Le coaching opérationnel marketing et commercial c’est pour moi ?

  • Vous avez besoin d’être accompagné pour monter en compétences sur un sujet opérationnel de marketing ou de développement commercial ?
  • Vous ne parvenez pas à atteindre de vos objectifs marketing par manque de temps de méthode ou d’organisation ?
  • Vous souhaitez booster votre développement commercial mais vous ne savez pas par où commencer ?
  • Vous avez une To Do List à rallonge mais jamais aucune action terminée ?
  • Vous voulez monter en compétence mais vous ne voulez pas participer à une formation interentreprise pas assez personnalisée à votre goût ?

Bref, vous en avez marre d’avoir plein de sangliers sur le feu mais aucun qui n’est cuit ? Le coaching opérationnel marketing et commercial selon AJEM Consultants est pour vous !

Le coaching opérationnel marketing et commercial, comment ça marche ?

Le coaching opérationnel marketing et commercial empreinte des codes au coaching comportemental classique qui vise à vous aider à effectuer d’un changement durable sur votre comportement. En revanche, il se centre sur la montée en compétence du coaché et s’axe sur un accompagnement pour une montée en compétence de l’expertise métier. Cela peut être par exemple :

  • Renforcer son développement commercial,
  • Mettre en place une stratégie de contenu,
  • Créer sa plateforme de marque,
  • Finaliser sa proposition de valeur
  • Lancer une offre innovante,
  • Rédiger un plan d’actions commercial,
  • etc.

Comme pour un coaching « classique », nous définissons des objectifs à l’issue de la première séance qui est consacrée à un état des lieux.

Nous définissons alors la feuille de route pour les différentes séances que nous programmons sous forme de RDV réguliers pour vous aider à vous mettre en route et passer de la tête aux jambes. Vous repartez toujours avec des outils opérationnels, des livrables et des actions à mener concrètes et réalistes.

Lors de ces ateliers nous pourrons aborder :

  • La formalisation de votre plateforme de marque
  • L’optimisation de votre gestion du temps et des priorités
  • Le positionnement de l’offre produit ou service
  • La validation du modèle économique et des prix
  • Le ciblage client et la création de personae
  • La création de l’argumentaire produit
  • Le calcul de la rentabilité et du point mort
  • La définition des objectifs commerciaux
  • Etc.

Vous serez amené à travailler de votre côté entre les séances et la dernière séance est toujours consacrée à l’élaboration d’un plan d’actions.

Qui intervient pour votre coaching opérationnel marketing et commercial ?

Stéphanie Michel Amato est votre consultante référente qui vous accompagne et elle peut aussi faire appel à des consultants RH, RSE, Management et Finance de notre réseau si leur intervention est essentielle pour atteindre les objectifs.

Besoin de calculer votre point mort pour fixer vos objectifs commerciaux ? Envie de comprendre l’impact de la RSE sur votre activité ? Besoin de recruter ? Nos consultants partenaires viendront compléter l’accompagnement.

Pour qui ? Pour tous ceux qui ont des idées mais pas forcément le mode d’emploi !

Coaching operationnel marketing et commercial

Vous êtes entrepreneur solo, indépendant, manager, dirigeant ou créateur d’entreprise et vous souhaitez booster vos actions marketing et commercial alors ce format est fait pour vous.
Ce qui fait la différence :

  • Des RDV réguliers pour vous mettre en action et se fixer des objectifs d’actions concrets
  • Des synthèses claires et opérationnelles pour mettre en place les actions au fil de l’eau sans attendre la fin du coaching
  • Des plans d’actions à chaque séance pour vous permettre de progresser rapidement et régulièrement de façon concrète
  • Des apports théoriques et pratiques en mode « learning by doing » pour réaliser un transfert de compétences durable
  • Une approche pragmatique et réaliste pour respecter vos contraintes, votre rythme et votre secteur d’activité
  • Des livrables directement utilisables pour une application immédiate des actions programmées
  • Un plan d’action en fin de parcours pour vous permettre de continuer dans la durée

L’aventure vous tente ? Contactez-nous pour un premier diagnostic de 30 minutes par téléphone ou visio au 06 86 36 53 08.

Découvrez nos sujets d’intervention dans notre rubrique Formations


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