Author Archives: Stéphanie Michel Amato

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dirigeants: outil marketing Gustave_Eiffel

Personal branding: Dirigeants de PME PMI, vous êtes le premier outil marketing de votre entreprise !

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« Belle gueule ou pas », il va falloir s’y faire… Le personal branding a encore un bel avenir devant lui ! Et pour cela, pas besoin d’être inflenceur…
Les dirigeants d’entreprise sont très souvent le meilleur outil marketing stratégique pour l’entreprise mais ils oublient souvent qu’il n’est pas nécessaire d’être George Clooney pour être porteur de l’image de son entreprise ! What else ? Votre caractère bien trempé, votre embonpoint, votre accent alsacien, votre look décalé ou votre franc parler sont autant d’outils au service de votre stratégie de développement! Sans pour autant phagocyter l’image de votre entreprise, redécouvrez votre puissance de communication et ne péchez pas par excès d’humilité …

Et votre prénom c’est Modeste ?

Alain Afflelou est probablement l’une des premières références en matière de communication puisque ce dirigeant emblématique a toujours réussi à tirer pleinement parti de son histoire et de sa personnalité.  Gustave Eiffel sut convaincre les plus réticents grâce à son excellente réputation et Steve Jobs par son exceptionnelle opiniâtreté et ses talents d’orateur. Mais d’autres, moins connus mais tout aussi intéressants se montrent et ça marche ! Alors pourquoi pas vous ?

Nombre de mes clients ont des profils inoubliables tant par leur physique (grand ou fort ou même petit,) que par leur voix (grave et sensuelle ou avé l’accent) ou par leur personnalité (humour incisif ou lunettes dernier cri). Pourtant, ils craignent souvent d’être trop « voyants » et n’osent pas toujours porter l’image de cette entreprise, qu’ils ont, pour la plupart, créée. Cette modestie mal placée, même si elle est légitime et compréhensible, peut parfois être un frein à une stratégie de développement.

Ne vous cachez plus, les journalistes, vos followers et vos clients veulent vous voir…

Pour vivre heureux, vivons cachés ? Cet adage, qui devrait un peu plus être prisé des people, est au contraire encore trop en vigueur parmi les dirigeants, en particulier, les patrons de PME PMI.

Premiers sujets qui fâchent en général : les relations publics et les réseaux sociaux. Entre les timides qui s’ignoraient et les maniaco-dépressifs repentis (*),  les dirigeants ont souvent du mal à parler aux journalistes et à leurs abonnés dans le cadre d’une stratégie de relations presse et de média sociaux. Or, si la liste des dernières fonctionnalités de votre logiciel peut être fournie et commentée par votre Directeur de la RetD, les choix stratégiques de l’entreprise, la publication des résultats financiers ou la sortie d’une nouvelle offre innovante peuvent difficilement être portées par une autre personne que le dirigeant. Les journalistes seront toujours plus enclins à parler d’une entreprise si elle est associée à un visage. Ce qui est encore plus vrai quand ce visage est celui du fondateur de l’entreprise.

Dans l’expression Relations Publics, il y a le mot Relations: parlez aux journalistes et ne vous cachez plus derrière vos lunettes rose fluo très branchées ou votre langage imagé tant apprécié de vos équipes! L’exercice n’est peut-être pas facile, mais il en vaut la chandelle. Un « media training » peut d’ailleurs être une bonne solution pour vous donner un petit coup de pouce et prendre plus d’assurance.

… Vos clients et vos partenaires aussi !

Pour vos clients et vos fournisseurs, vous impliquer dans la communication de l’entreprise est aussi une preuve de respect et d’attention. Avoir accès au patron permet de créer un lien commercial différent. Car la vente reste avant tout affaire de communication et de relations humaines. Ne  l’oublions pas, la confiance réciproque, socle indéfectible du business, passe aussi par la confiance que l’on peut avoir dans le dirigeant de l’entreprise. Le marketing du dirigeant est ainsi un moyen unique d’humaniser les relations commerciales.

Question réseaux sociaux, là aussi le personal branding est de mise voire recommandé.

Un dirigeant pourra dire et partager des choses qu’une entreprise n’aura aucun intérêt à publier sur Linkedin ou sur Instagram. Il tiendra des propos plus engagés ou plus personnalisés capables de créer un lien particulier avec son audience. Le dirigeant pourra ainsi partager son parcours, son avis, ses expériences de manager et ses joies et ses déceptions. Vidéos, posts, tribunes, partages d’expérience, tous les formats sont permis !

Tout est personal branding : votre histoire, votre parcours, vos caractéristiques physiques, etc.

Mais vous allez me dire : « qu’est-ce qui est marketing en moi ?  où est mon personal branding ? »,  je répondrai : « TOUT ! ». Cela peut être votre histoire personnelle, votre carrière professionnelle, votre parcours universitaire, votre personnalité, votre humour mais aussi vos activités ou votre implication dans des associations. En revanche, il faut prendre garde de ne pas raconter votre vie sans que cela ait de valeur ajoutée pour votre stratégie marketing. Vous ne devez pas confondre communication avec psychanalyse. Vous avez été commerçant et vous vendez des solutions e-commerce ? Racontez-le mais marketez-le… Vous êtes une des rares femmes dirigeantes d’entreprise dans votre secteur d’activité? Faites connaitre votre parcours. Vous faites 1m80 et votre timbre de voix rappelle étrangement celui de Fanny Ardan ? Qu’attendez-vous pour rencontrer les journalistes ? Vous êtes blonde et coach agile ? Foncez !

Bien se montrer ce n’est pas seulement poster votre photo sur votre site web. C’est avant tout être authentique

Le principe est simple : on se souvient de vous? On se souviendra de votre entreprise ! Et cela est encore plus vrai dans un monde empli de communication où tenir un blog, écrire une tribune  ou animer une conférence deviennent de véritables leviers pour la communication et la notoriété. La prise de parole du dirigeant peut se faire au travers de nombreux supports en s’appuyant sur une arme qui a fait ses preuves : la génération de contenu. Derrière ce nom barbare se cachent l’édito sur votre site web et/ou la plaquette de l’entreprise, des vidéos, tables rondes, des tribunes d’experts que vous signerez (rassurez-vous, il existe de bonnes plumes pour rédiger à votre place si vous craignez de ne pas savoir le faire), les billets d’humeur sur le blog de l’entreprise, la tenue de votre propre blog, des interventions lors de conférences et autres tables rondes et bien sûr des interviews réalisées auprès de journalistes dans le cadre de la stratégie de relations presse.

Une règle d’or: Ne sur-jouez pas et restez toujours authentique !

personal brandingMontrez vous mais à bon escient sinon gare à la « mélonite » aigüe !

Nous l’avons vu, se montrer et s’impliquer dans la communication de l’entreprise devient essentiel mais attention de ne pas contracter une maladie hélas trop répandue (et parfois contagieuse) parmi les chefs d’entreprise qui réussissent : la mélonite aigüe (**). Vous ne devez pas vous substituer à l’image de l’entreprise mais bien la porter. Vous ne pouvez être le seul outil marketing de l’entreprise. Entre valeur ajoutée et égo mal placé, la limite est parfois allègrement franchie, surtout lorsque l’entreprise est dans une phase de croissance forte.

L’arbre ne doit pas cacher la forêt et le dirigeant son entreprise…

Un petit conseil : dès l’apparition du syndrome du « j-utilise-plein-de-mots-compliqués-et-anglais-de-préférence-pour-dire-des-choses-simples-et-je-parle-pour-ne-rien-dire » , il est alors temps de faire une pause et de relire sereinement cet article sur le personal branding…

* symptômes qui apparaissent lors de la première demande d’interview faite par l’attachée de presse

** Cette maladie tire son nom d’une expression méditerranéenne, «Vé, il a pris le melon celui-là » qui signifie avoir la grosse tête ou avoir une haute estime de sa personne et le faire savoir…


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twitch pour les entreprises

Twitch pour les entreprises : petit guide pour comprendre comment ça marche

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Pas un jour sans que Twitch ne fasse parler de lui. Ce réseau social originellement conçu pour les gamers devient un nouvel acteur de la communication des marques. Personnellement, nous ne sommes pas des pro sur le sujet mais clairement il faut s’intéresser à Twitch pour les entreprises car ce réseau social offre de nombreux codes et outils très intéressants pour le secteur de l’IT où nous opérons et peut être un différenciateur fort dans la communication d’une marque. Petit guide pour les débutants en Twitch pour les entreprises .

Pourquoi s’intéresser à Twitch pour les entreprises ?

Peut-être avez-vous entendu parler du record d’audience français de Twitch battu par Squeezie son GP Explorer en octobre 2022 ? Un nouveau record a été atteint le 19 novembre 2022 lors du #ElevenAllStars organisé par AmineMa Tue.

twitch pour les entreprises

#ElevenAllStars le match événement qui a battu tous les record sur Twitch

Ce match de foot entre streamers, qui a eu lieu dans la vraie vie, a opposé une équipe française et une équipe espagnole, à la veille du début de la Coupe du Monde, au stade Jean Bouin (Paris). L’équipe de streamers français a fait une arrivée remarquée au stade, une heure avant le lancement du pré show.

20.000 spectateurs et un concert des rappeurs Gazo, Koba LaD, et Niska plus tard, les équipes sont entrées sur le terrain sous les applaudissements et le match a attiré 1.150.000 viewers (on vous explique après ce que c’est) sur le live, un record pour la France !

Le match a également eu lieu sur Twitter avec une guerre de RT entre les deux capitaines des équipes !

Ne vous méprenez pas. Twitch n’est pas réservé aux gamers et moins de 30 ans.

Samuel Etienne, journaliste tout ce qu’il y a de sérieux de France Télévision, a interviewé François Hollande et Jean Castex sur sa chaine Twitch qui compte plus de 550.000 followers.

Bref, ce réseau social dont la notoriété et l’usage ont explosé pendant le confinement n’a pas fini de faire parler de lui.

twitch pour les entreprises

Consulter la chaine de Samuel Etienne

Préambule : Un peu de vocabulaire pour parler le Twitch débutant

La communauté Twitch repose sur des lives (ou stream) qui permettent une diffusion en direct, sur une chaine, de contenus divers pouvant aller d’une partie de jeu-vidéo à une retransmission de grand prix ou un match de football.

Ils sont animés par des streameurs et streameuses qui peuvent être basiques, affiliés ou partenaires. Les streameurs affiliés ou partenaires sont des « pro » qui, grâce à un accord avec Twitch, voient une partie des revenus publicitaires et des abonnements payants leur être reversés.

Les lives sont suivis en direct par des viewers qui ont un statut :

  • Soit de followers (en cliquant sur Suivre de la chaîne)
  • Soit de subscribers (ou abonnés) car ils versent un abonnement mensuel et bénéficient de certains avantages sur le stream comme des emotes (émoji personnalisé par les streamers).

Les discussions nécessitent parfois de la modération. C’est là qu’interviennent les modos qui ont le droit de supprimer des messages et peuvent bannir certains viewers mais aussi des streamers qui ne respecteraient pas les codes de la plateforme (ban en langage Twitch).

À la fin des lives, les streameurs peuvent raid une autre chaîne. Cela consiste à envoyer les viewers vers un autre live en cours, permettant ainsi à des streamers moins connus de gagner en notoriété.

Twitch c’est quoi ?

Maintenant que vous parlez le Twitch dans le texte, qu’est-ce qui se cache derrière Twitch?

Twitch, c’est une plateforme de streaming initialement utilisée par les gamers pour streamer des contenus sur des chaines.

Twitch était, entre 2011 et 2014, un site de diffusion de jeux vidéo en direct. Racheté par Amazon en 2014, il compte à présent plus de 26,5 millions de streamers en moyenne par jour, son audience ayant explosé pendant le confinement.

A présent, même si le secteur gaming (e-sport et gamers confirmés) truste toujours le haut du podium, de plus en plus de diversité apparait avec des lives qui évoluent de plus en plus vers des formats « émissions » programmées – un peu pour la télé d’avant le digital – qui abordent de nombreux sujets de sociétés sous des formats différents comme les talk shows ou les retransmissions d’événements …

Twitch n’est définitivement plus un truc d’amateurs de jeux vidéos.

Twitch en quelques chiffres

twitch pour les entreprises chiffres clés

Source CFPJ

Il y a toujours des performances de gaming mais se développent aussi des interviews politiques, des discussions, des radios libres, de l’actu et même de la cuisine ou de la vulgarisation scientifique.

Le  succès de Twitch repose donc sur son aspect communautaire très fort et la forte gamification à destination les utilisateurs.

Twitch ça marche comment ?

Pour utiliser Twitch, rien de bien compliqué. S’inscrire puis regarder. Sauf qu’il y a quand même beaucoup de choses à voir qui donnent un peu le vertige. Aussi, il faut un peu faire le tri au début et/ou savoir qui suivre. Des recommandations sont proposées et un moteur de recherche est disponible.

Pour créer un maximum d’interactions et d’engagement, Twitch est conçu pour favoriser la fidélisation des audiences.

Des monnaies virtuelles permettent de soutenir les streamers. Ainsi, les viewers peuvent accumuler des points de chaîne (propres à la chaine qu’ils suivent) pendant le visionnage et les utiliser pour mettre en avant leurs messages dans la masse.

Ils peuvent aussi utiliser des bits (devise monétaire de Twitch payable en euro) pour faire un un don direct au streamer ou acheter des cheers qui permettent aux viewers de mettre en avant des messages personnalisés.

Dernier élément important dans Twitch : son système de VOD. Tous les lives peuvent être regardés en replay dans un certain délai ou convertis en temps fort (VOD). Il est aussi possible pour la communauté des streamers de créer des clips de moins d’une minute, partageables sur les autres réseaux sociaux.

Twitch ôur les entreprises propose plusieurs formats publicitaires et, bien sûr, les collaborations avec les influenceurs y ont aussi leur place.

Twitch pour les entreprises, pour quoi faire ?

La particularité de Twitch en tant que réseau social est son orientation très nette vers la diffusion de contenus live couplée avec des fonctions de chat et de commentaire, qui permet d’avoir un impact sur le contenu diffusé en direct. Les commentaires des viewers peuvent orienter le live ou alimenter une conversation.

Twitch pour les entreprises est donc à étudier de très près pour sa capacité à:

  • Fédérer des communautés

Même si Instagram et Facebook ont développé les lives, Twitch se différencie justement par sa capacité à fédérer des communautés créatives qui se rassemblent autour de centres thématiques précises mais variées comme le jeu vidéo, l’art, la cuisine, la politique, la technologie, le voyage…

  • Adresser de nouvelles cibles

La plateforme représente une vraie opportunité pour les entreprises qui souhaitent adresser des cibles auxquelles elles n’auraient pas accès via des médias plus classiques. Les cibles sur Twitch sont justement celles qui ne veulent plus des médias traditionnels et recherchent des communications plus ciblées et plus digestes.

  • Mettre en œuvre une communication différenciante et plus créative

L’audience est plus jeune et la plateforme permet aussi de développer une communication différenciante avec des contenus plus créatifs. Attention toutefois, la professionnalisation des streamers fait monter le niveau d’exigence sur la qualité des contenus autant sur la forme que sur le fond.

  • Développer plus d’interactivité avec ses clients

Les viewers ont un impact instantané sur le contenu diffusé en live et peuvent influer dessus. Les clubs utilisateurs de l’IT pourraient s’y intéresser mais aussi tous ceux qui souhaitent faire évoluer leur offre en partenariat avec leurs clients en mode co-développement ou co-construction…

Quelques erreurs à ne pas commettre sur Twitch

Twitch pour les entreprises ne doit pas non plus être traité comme un canal de communication de plus, en ignorant ses codes et sa spécificité.

  • Considérer ce média comme une banale version moderne de la télévision et streamer des formats classiques de contenus destinés initialement aux médias traditionnels
  • Ne pas connaître les codes propres à la plateforme et se faire « balader » par des viewers avertis 😊
  • Venir uniquement pour faire de la publicité sans créer de contenus à valeur ajoutée
  • Oublier d’adapter la tonalité de sa communication à la cible de Twitch
  • Créer des contenus informatifs au lieu de créer des expériences divertissantes pour la communauté (même si Twitch vous permet de faire des annonces produits par exemple)
  • Ne pas s’équiper de bons outils pour un streaming de qualité (logiciels de streaming, webcam, micro, décors et fonds, animations, lumière, etc.)

Voilà ce que nous avions envie de dire sur cette plateforme et surtout aux entreprises du secteur de l’IT qui feraient bien d’aller y faire un tour pour en étudier l’opportunité.

Envie de discuter de votre stratégie marketing et des opportunités de développement? Contactez-nous !

 


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développer votre activité grâce au réseautage

Nouveau !  Formation Développer votre activité grâce au réseautage

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Comment développer votre activité grâce au réseautage ? Voici la réponse avec notre nouvelle formation quo peut être dispensée en distanciel ou présentiel.

Objectif :

Optimiser l’utilisation du réseautage, en comprendre les enjeux et identifier les axes prioritaires de réseautage

  • Comprendre ce qu’un relationnel bien structuré et efficace peut apporter
  • Maîtriser les facteurs clés de réussite du réseautage d’affaires
  • Décrire son client idéal et identifier son écosystème réseau actuel
  • S’approprier une posture de networker
  • Comprendre les enjeux dans diverses circonstances
  • Présenter efficacement son activité pour marquer les esprits

Durée

  • Présentiel : 1 jour – 7h (9h00-12h30/13h30-17h00)
  • Possibilité coaching opérationnel

Public

 Commerciaux, chefs d’entreprise souhaitant développer leur réseau

Prérequis

 Idéalement les participants ont identifié leurs personae ou leurs cibles de clients et disposent de bases pour leur proposition de valeur (pitch)

Intervenant

 Consultant/Formateur spécialisé dans le développement commercial et le marketing

Tarif

 900 euros HT (900 euros HT/jour)

Moyens pédagogiques

  • Apports théoriques illustrés par des exemples concrets
  • Approche pragmatique et participative basée sur des échanges avec le formateur : autodiagnostics, exercices, vidéos, mise en situation, jeux de rôle, débriefing, outils
  • Facilitation visuelle inspirée des méthodes Agile pour analyser les situations et produire des livrables
  •  Élaboration d’un plan de progrès individuel et remise d’un support de cours

Suivi et évaluation

  • Collecte des attentes des stagiaires
  •  Questionnaires d’évaluation des acquis sur mesure (QCM, questions ouvertes, tests, synthèse écrite, etc.) ou par mises en situation
  •  Rédaction d’un compte rendu de formation par le formateur

Contenu de la formation: Développer votre activité grâce au réseautage

  • Introduction : tour de table, présentation de la démarche, attentes
  • Tour d’horizons des idées reçues : le réseau de quoi parle-t-on 
    • Qu’est-ce que le réseautage ? Freins et facteurs de succès ? (speedboat ou Mind mapping et valises et ballons)
    • Pourquoi réseauter ?
    • Comment situer le réseautage dans le parcours et l’expérience client ?
  • Définir ma stratégie de réseautage
    • Définir mes objectifs et mes cibles de réseautage : Qui cibler ? quels indicateurs ?
    • Cartographier son réseau : Qui sont mes clients ? Qui sont mes prescripteurs ? Quelles sont mes pratiques habituelles ?
    • Diversifier son cercle : événementiel, associations professionnelles, etc.
    • Reprendre contact avec d’anciennes relations : anciens clients, réseaux d’anciens élèves etc.
  • Préparer son réseautage
    •  Identifier dans mon argumentaire les bénéfices à mettre en avant pour réseauter (méthode BAC : Bénéfices Arguments Caractéristiques)
    • Présenter sa proposition de valeur en quelques mots : savoir pitcher
  • Comprendre et appliquer quelques techniques de réseautage
    • Garder en tête des points clés de la communication commerciale : pratiquer l’écoute active, communication sur les faits, parler positif
    • Communiquer sur ses réussites
    • Solliciter des recommandations
  • Tirer parti de vos échanges :
    • Synthèse et compte rendu de l’échange, contacts sur les réseaux sociaux, traitement des données, etc
    • Assurer un suivi au jour le jour et conserver l’esprit networking
  • Conclusion et plan d’action individuel et/ou collectif

 

Cette formation peut être complétée par une formation sur l’utilisation de Linkedin pour réseauter en ligne.

Vous avez des projets de proposer cette formation à votre équipe ou simplement vous souhaitez échanger pour savoir si cela peut correspondre à vos besoins ? contactez-nous au 06 86 36 53 08 !

 

Validation de la formation: formation non diplômante. Remise d’un certificat de réalisation individuel

Temps de mise en oeuvre de la formation:  Dès envoi de la convention délai minimum de 30 jours avant entrée en formation. Sous réserve de validation de la convention ou accord de financement OPCO. Pour les personnes en situation de handicap, délai susceptible d’être allongé du fait de la mobilisation d’interlocuteurs dédiés pour faciliter la mise en œuvre de votre projet de formation


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marketing produit et rse decathlon inversé

Marketing produit et RSE: Le marché de la seconde main est-il devenu un nouvel outil RSE ?

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Le marché de la seconde main serait-il devenu un nouvel outil RSE ? Au regard des exigences liées à la réduction de notre empreinte carbone et aux nouvelles attentes des consommateurs, la prise en compte des enjeux climatiques pour les industriels est devenue un impératif. Encore faut-il être en mesure de mettre cela en place au sein de la stratégie produit et de la stratégie commerciale. Quels produits faire évoluer ? Quelles nouvelles offres de service proposer ?

Marketing produit et RSE: L’exemple de Décathlon

Vous avez probablement vu l’excellent marketing de Décathlon au sujet de ses offres de produits reconditionnés. La célèbre marque française présente dans le monde entier a choisi de rebaptiser ses magasins en utilisant le nom de l’enseigne à l’envers. car à présent c’est un peu le monde à l’envers. C’est le magasin qui rachète des produits à ses clients.

marketing produit et rse decathlon inversé

En Belgique, trois magasins sont concernés par l’opération qui va afficher une enseigne inversée. Les clients rapportent leurs produits qui sont rachetés contre des bons d’achat à dépenser dans les divers points de vente. C’est donc du shopping inversé puisque Decathlon qui rachète les produits aux clients !

« À première vue, ce changement de nom en Nolhtaced peut ressembler à un coup marketing, mais nous voulons avant tout faire connaître notre service de rachat au plus large public possible et ainsi réutiliser un maximum de choses, baisser le seuil de la seconde main et augmenter le pouvoir d’achat. »

Cette approche est intéressante mais comment la dupliquer dans les différentes industries?

Le cas de l’industrie textile ou comment ne pas se tirer une balle dans le pied

Difficile, quand on est un enfant de la fastfashion (comme H&M ou Primark  de trouver la bonne voie pour développer une stratégie RSE pertinente. Arrêter de faire travailler les enfants, payer correctement ses ouvriers à l’autre bout du monde et réduite l’impact de la délocalisation, … SimpleBasique comme dirait Orelsan ! Mais peut-être pas suffisant…Il se pose tout de même une vraie question: pour réduire notre empreinte carbone, il faut limiter notre consommation. En particulier de vêtements. Voici quelques chiffres pour réfléchir:

  •  1/3 de l’empreinte carbone des européens est dû à ses importations (source Insee 2022).
  •  L’étude « Empreinte carbone du textile en France », menée par Cycleco, évalue que l’empreinte carbone textile par habitant équivaut à 442 kilos par an et pourrait être réduite de moitié si les importations étaient réduites.
  •  L’industrie du textile serait la seconde industrie la plus polluante au monde après le pétrole, et selon les études, représenterait entre 3 et 10% des émissions de CO2 mondiales.

La solution ? La seconde main (mais pas que) !

La seconde main est un nouveau business model qui permet aux industries les plus polluantes de se ré approprier un modèle économique qui est en passe de leur échapper (Vinted ou le Bon Coin y sont pour quelque chose…)Il y a une vraie réflexion à intégrer dans la démarche marketing produit des entreprises sur la pérennité et la réuilisabilité des produits qu’elle crée et vend et cela passe par:

la mise en place de la vente en seconde main au sein de l’entreprise

  •  le reconditionnement des produits quand c’est possible
  •  l’augmentation de la réparabilité de ses produits
  •  La création d’offres de services de maintenance et réparation
  •  la meilleure qualité de produits qui doivent être conçus pour durer.

De nombreux professionnels du textile ont déjà compris l’intérêt de penser RSE en amont par conviction personnelle et aussi pour mieux répondre aux nouvelles attentes des consommateurs.

Vos devez vous aussi anticiper ces enjeux d’empreinte carbone produit, de réutilisabilité et de RSE enjeu et de les intégrer avec pertinence et innovation cette notion dans la construction de votre stratégie produit.

Contactez-nous si vous souhaitez en parler !

PS: pour calculer votre empreinte carbone produit vous pouvez prendre votre calculette  ou contacter la  société  Izypeo qui fabrique des logiciels pour faire cela !

 


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inbound marketing et plateforme de marque

Inbound marketing et plateforme de marque : les indissociables de votre stratégie de contenu

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inbound marketing et plateforme de marque… Combien de fois ai-je entendu des chefs d’entreprises m’expliquer qu’ils n’ont pas besoin d’un discours société et d’un positionnement marketing car ils le maîtrisent totalement mais qu’ils ont surtout besoin d’un plan d’actions … Or difficile de se lancer dans une stratégie de contenu ou d’’inbound marketing sans disposer d’une plateforme de marque pour piloter et encadrer les messages clés et les actions.

Règle n°1 marketing : le marketing ne change pas un canasson en cheval de course

Récemment, j’ai effectué une mission avec un de mes partenaires institutionnels et son adhérent souhaitait savoir s’il faisait tout bien en matière de marketing. La réponse l’a surement peu déçu (ça dépend ça dépasse comme on dit quand on a plus 40 ans…) Les actions étaient parfaitement orchestrées mais avec un contenu inadapté… avec un manque de fond, et d’arguments… Comment définir une stratégie de contenu si l’on n’a rien à raconter ?
C’est là que la plateforme de marque prend tout son sens car elle permet de :

  • Disposer d’un discours unique et partagé par tous dans l’entreprise et en dehors
  • Incarner l’identité de sa marque ou de son entreprise, sur la forme et sur le fond
  • Formaliser la valeur ajoutée de l’entreprise/du produit pour ses publics internes et externes
  • Décliner plus facilement le discours sur les différents outils marketing, communication et commercial (plaquette, site web, communiqué de presse, vidéo, etc.)
  • Pitcher aisément et savoir parler de l’entreprise/de la marque/des produits de façon courte ou longue, à l’écrit ou à l’oral
  • Identifier des sujets de prise de paroles et de contenus (blog, ateliers, webinar, etc.)

Règle n°2 : ce qui se pense bien s’énonce clairement

La plateforme de marque est un outil simple mais essentiel pour bâtir une stratégie marketing cohérente et efficace. J’avoue que le terme n’est pas forcément parlant mais la plateforme de marque est l’expression synthétique de l’identité d’une marque ou d’une entreprise qui permettent d’identifier son ADN et ses avantages concurrentiels. Il n’existe pas de modèle unique mais on y trouve en général :

  • La vision : Vers quoi allons-nous ? Quel est le but à atteindre ? Comment voyons-nous notre métier et notre secteur d’activité ? Quelle est notre façon de voir le monde, quelle philosophie sous-tend notre positionnement ?
  • La mission : Quelle est notre raison d’être ? À quoi servons-nous ? Quel rôle voulons-nous jouer dans la société et dans notre secteur ?
  • Le métier : Qui sommes-nous ? Comment définir notre métier ?
  • Les valeurs : Quelles sont les valeurs que nous défendons dans notre approche et nos produits ? Quels sont nos atouts, nos principales qui justifie notre réussite ?
  • Les cibles : Qui sont nos clients ? A quels enjeux répondons-nous ? quels sont les différents publics auxquels nous nous adressons et pour qui nous mettons en œuvre notre mission ? Quelles sont nos cibles principales et secondaires ?
  • La proposition de valeur ou promesse : Quelle est notre valeur ajoutée ? En quoi sommes-nous uniques pour nos clients ? Quel est l’engagement de la marque auprès de nos cibles ? Comment instaurons-nous la confiance ?
  • Le style et la personnalité : Sur quel ton choisissons-nous de nous exprimer ? Quels traits de caractère définissent notre façon d’être, d’agir, de communiquer ? Quels mots clés utiliser ?

On peut y ajouter la baseline (slogan), le logo, le traitement des objections, des thèmes et enjeux clés du secteur d’activité, etc.

Règle n°3 : la plateforme de marque nécessite des outils et du temps

Concevoir sa plateforme de marque nécessite d’abord de réaliser une analyse de la situation actuelle de l’entreprise en utilisant des outils comme le SWOT (forces, faiblesses, opportunités, menaces), le PESTEL (analyse de l’écosystème), les forces de Porter (analyse de la concurrence).

inbound marketing et plateforme de marque

Ensuite pour accompagner la réflexion et produire le contenu de la plateforme de marque, il est très utile de s’appuyer sur deux outils que nous aimons beaucoup chez AJEM Consultants :

1. La méthode IKIGAÏ: la raison d’être

inbound marketing et plateforme de marque

Iki=vie et gaï= qui vaut la peine. L’ikagaï est une philosophie de vie japonaise qui consiste à trouver un sens à notre vie, une raison de se lever le matin. Elle est souvent utilisée pour se trouver soi-même dans les disciplines de développement personnel. Ces quatre composantes appliquées au domaine de l’entreprise sont un outil très intéressant pour travailler sur la mission, la vision, les valeurs et le métier de l’entreprise.

2. Le Golden Circle de Simon Sinek

inbound marketing et plateforme de marque

Cet excellent outil permet de réfléchir à la notion de marque ne partant de sa raison d’être plutôt que de partir de ce qu’elle est.

  • Pourquoi : peu de marques savent « pourquoi » elles font ce qu’elles font, c’est le « Why » qui nécessite souvent le plus d’attention.
  • Comment : certaines marques savent « comment » ils le font, c’est ce que l’on appelle la proposition de valeur qui va marquer leur différence, c’est le « How ».
  • Quoi: généralement toutes les organisations, entreprises, personnes savent ce qu’elles font, c’est le “What”

La méthode des personae est également d’une grande utilité pour avancer sur les cibles et leurs enjeux et la méthode BAC (Bénéfices Arguments Caractéristiques) pour écrire la proposition de valeur.

Règle n°4 : la plateforme de marque doit être formalisée pour être exploitée

Ces outils permettent une réflexion mais ensuite il va s’agir de rédiger la plateforme de marque pour la formaliser et pouvoir l’exploiter dans vos campagnes marketing et sur vos outils d’aide à la vente.
Elle se présente souvent sous forme d’un document qui peut être assez long dans un format diaporama ou sous forme de document plus classique rédigé avec un traitement de texte.
Certaines entreprises appellent aussi ce livrable un brandbook.
Plus elle sera rédigée, avec différents niveaux de détail (longue description, courte description, pitch, etc.) et plus elle sera facile à exploiter pour organiser et rédiger le site web, écrire des articles de blog, optimiser le pitch de la page LinkedIn, créer des contenus, écrire le boilerplate pour les relations presse, etc.

En effet, la page « Qui sommes-nous ? » correspond généralement aux fondamentaux (vision, mission, métier, valeurs) et la page « pourquoi nous choisir ? » à la proposition de valeur.

Règle n°5 : inbound marketing et plateforme de marque : jamais sans mon brandbook !

Alors quelle relation entre inbound marketing et plateforme de marque ? La réponse : une grande histoire d’amour !
L’inbound marketing est une approche qui vise à attirer les clients en gagnant leur attention grâce à des contenus de qualité leur permettant d’être informés, éduqués voire inspirés, afin de leur permettre de mûrir leur décision d’achat de façon autonome
Par opposition au marketing traditionnel souvent perçu comme intrusif, l’inbound marketing apporte aux clients les bons contenus au bon moment, via le référencement naturel et les réseaux sociaux.

Les deux objectifs principaux d’une stratégie d’inbound marketing est de développer la notoriété de l’entreprise et/ou de générer des leads.
Dans les deux cas, cela repose sur une stratégie de contenu qui doit être riche, pertinente et en cohérence avec les messages clés à faire passer afin de servir ces objectifs.

Difficile donc de se lancer dans une stratégie d’inbound marketing quand on ne dispose pas de :

  • La plateforme de marque pour identifier les sujets de prises de paroles à fort enjeu, développer une réelle cohérence sur les différents contenus et adapter les messages clés aux personae,
  • Le plan d’actions commercial afin de prioriser les actions en fonction des objectifs et créer un cadre pour atteindre les objectifs, généralement sur une année,
  • Le CRM qui va bien pour soutenir et sécuriser ses actions et les automatisant.

Vous l’avez compris difficile de dissocier inbound marketing et plateforme de marque sans risquer de construire une stratégie de contenu inefficace et incapable de remplir ses objectifs.

Pour en savoir plus, être accompagné ou être formé sur le sujet contactez-nous !

Voici également un lien vers un guide proposé par l’Etat français pour mieux comprendre l’importance de la plateforme de marque.


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stratégie de génération de contenu

8 bonnes résolutions pour réussir sa stratégie de génération de contenu !

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« Aujourd’hui, c’est décidé, je mets en place une stratégie de génération de contenu  » . Il y a toujours un moment dans l’année (Noël, la nouvelle année, la fête des mère, l’été, la rentrée,…) où se pose souvent la question des bonnes résolutions : « cette fois-ci, promis, juré, craché, je vais générer du contenu! »  Tout le monde veut en faire, tout le monde sait qu’il faut en faire, mais personne ne sait comment s’y prendre…Voici quelques bonnes résolutions pour vous aider à mettre en place une stratégie de génération de contenu de façon pertinente et régulière et éviter de faire rimer « je génère du contenu » avec « je n’en peux plus ».

8 bonnes résolutions pour réussir sa stratégie de génération de contenuDécouvrir l’infographie

Prérequis : je me rappelle la définition de la génération de contenu…

Pour reprendre une citation de David Campbell, « si vous ne savez pas où vous allez, vous vous retrouverez surement ailleurs ». Ne perdez donc pas de vue que la stratégie de génération de contenu désigne les analyses et les décisions qui permettront d’établir des plans d’actions visant à identifier une liste de contenus, à les produire et à les diffuser afin d’atteindre des objectifs marketing.
Elles trouvent parfaitement leur sens dans une stratégie d’inbound marketing, dit aussi marketing non intrusif ou une stratégie média sociaux.

1ère bonne résolution : je mets en place une (vraie) stratégie de génération de contenu

Comme toutes les autres actions de marketing et de communication, la génération de contenu doit répondre à des objectifs et reposer sur une réelle stratégie.  Une stratégie que vous devez prendre le temps de construire avant de vous lancer dans une course effrénée à la production de contenu, et pour cela, il vous faut :
•    Valider les objectifs marketing de votre génération de contenu,
•    Définir votre cible grâce à la technique des personae
•    Définir les types de contenus en fonction du parcours d’achat afin de fournir aux prospects et clients les bons contenus au bon moment,
•    Préparer la diffusion des contenus et ne pas se centrer seulement sur la production de contenu
•    Identifier les outils disponibles et évaluer comment optimiser la réutilisation du contenu généré,
•    Identifier les ressources dont vous avez besoin, aussi bien en termes techniques que financiers ou humains,
•    Nommer un responsable du projet,
•    Définir un rythme en phase avec la stratégie globale, marketing, commerciale et produit de l’entreprise.

Comme pour toutes les stratégies, celle-ci ne s’élabore pas de façon isolée. Il s’agit de partager et d’échanger avec les différents acteurs qui interviendront dans la génération de contenu (« marketeurs » classiques et digitaux, rédacteurs mais aussi Direction Générale, RetD ou commerciale).

2ème bonne résolution : je me donne les moyens de tenir (vraiment) mes engagements

« Il ne suffit pas d’aller à la rivière avec l’envie de pêcher un poisson, il faut aussi emporter le bon filet avec soi. » Vouloir ne suffit pas, vous devez mettre en place une méthodologie et une organisation qui vous « contraignent » (je n’aime pas ce mot mais c’est un peu ça tout de même) à réussir. Ainsi, il est important de:
•    Définir le type de contenu mais aussi un objectif de nombre de contenus à publier par support (une tribune d’expert par mois, un billet de blog par semaine, un cas client tous les deux mois, etc.) et de définir une périodicité,
•    Définir une ligne éditoriale cohérente en fonction du support et de la diffusion
•    Construire un rétro planning tenant compte de la périodicité définie précédemment,
•    Éduquer vos contributeurs pour qu’ils comprennent l’importance de la génération de contenu et vous réservent du temps au moment où vous les solliciterez,
•    Voire former vos collaborateurs à la méthodologie et à la rédaction de contenu.

3ème bonne résolution : j’anticipe plutôt que je ne participe (voire je ne réagis)

La génération de contenu est un exercice qui, comme la course à pied ou la méthode Pilates, porte ses fruits sur la durée. Vous ne pouvez vous contenter de produire du contenu quand vous avez le temps (vous n’en avez jamais, on ne va pas se mentir !) ou quand vous réalisez que vous n’avez pas mis à jour votre site web depuis 4 mois (quand ce n’est pas plus). Pour vous aider à anticiper et définir les règles d’une production régulière de contenu, vous pouvez vous appuyer sur :
•    Les grandes tendances de votre marché (n’oubliez pas au passage de vous abonner à quelques newsletters , de consulter les réseaux sociaux et des influenceurs de votre secteur…)
•    L’actualité de votre entreprise et la planification des sorties de produits,
•    Les événements auxquels vous participez ou que vous organisez,
•    Les préoccupations de vos clients et l’évolution de leurs enjeux métier et technologiques
•    Les grands événements de votre marché,
•    La saisonnalité de votre activité,
•    Les nouveautés réglementaires, fiscales, sociales
•    Etc.

4ème bonne résolution : je planifie mes actions de génération de contenu

Il est important de formaliser votre plan d’action et d’établir un « programme ». Une pratique qui a fait ses preuves consiste à prendre un thème (idéalement issu de votre discours de marque et de votre proposition de valeur) par mois ou par trimestre et à décliner les actions de création de contenu sur ce thème.  Ainsi, vous pourrez décliner vos outils avec une direction simple et avec les messages clés déjà validés. Pour un thème donné, vous pourrez ainsi :
•    Écrire une tribune d’expert,
•    Réaliser un témoignage client,
•    Envoyer une newsletter centrée sur cette thématique,
•    Organiser un webinar,
•    Réaliser une vidéo ou un tuto,
•    Etc.

5ème bonne résolution : je mets en place les bons outils pour y passer (juste) le temps nécessaire et je n’ai pas peur de réutiliser

Vous avez planifié ? Et bien orchestrez maintenant !  Une des clés du succès d’une stratégie de génération de contenu repose sur la capacité à réutiliser un thème ou un outil. Cela permet de limiter le temps passé et de renforcer votre message. N’hésitez pas à produire du contenu à l’avance et à placer votre blog au centre de votre stratégie. Vous pouvez y poster l’ensemble de vos contenus, les diffuser sur les réseaux sociaux puis les intégrer dans une newsletter qui reprend les articles récents. Pensez également à réaliser des « compilations » de vos publications pour les remettre à la une.

Et évidemment n’hésitez pas à vous faire aider de la technologie ! S’il y a une fonction qui se digitalise de plus en plus c’est bien le marketing ! Alors n’hésitez pas (sans pour autant sombrer dans le syndrome de l’usine à gaz… mais cela fera l’objet d’un autre article!).

6ème résolution : je ne suis pas trop ambitieux(se) et je reste réaliste en privilégiant la qualité à la quantité

Comme disait ma comptable, « mieux vaut petit rôti bien cuit que grosse ragougnasse fadasse« . Si vous vous fixez un planning irréaliste, vous ne le tiendrez pas et pire, vous serez en permanence frustré. Il vaut mieux commencer avec des objectifs atteignables puis monter en charge une fois que vous maitriserez bien les rouages de la génération de contenu. En outre, tous les spécialistes s’accordent à dire que la qualité du contenu produit prime sur la quantité. Ne noyez pas vos lecteurs d’articles « tarte à la crème », sans fond et sans forme dont le seul but est d’assurer un bon référencement. Quitte à faire du référencement autant que ce soit avec des articles de qualité… Faire venir du monde sur votre site ne vous nourrira pas. Le plus important reste de transformer ces visites en contacts commerciaux…

7ème résolution : j’arrête de me creuser la tête et je développe ma créativité

« Générer du contenu oui mais je ne sais pas quoi dire… « . Pourtant, il y en a des choses à dire… Tout est sujet pour générer du contenu, en particulier :
•    Les enjeux de votre secteur d’activité,
•    L’actualité et les tendances marché
•    Votre vision de votre métier,
•    La publication d’études ou de chiffres,
•    Votre actualité : (signatures clients, partenariats, communiqué de presse, sortie de produits, événements, etc.),
•    Les témoignages de vos clients,
•    L’évolution de la règlementation,
•    Etc.
Vous pouvez également inviter des contributeurs externes ou écrire des tribunes à 4 mains ! Bref, soyez créatif !

8ème résolution : j’admets que je ne peux pas être (forcément) compétent sur tous les sujets

Tout le monde parle français, mais tout le monde ne possède pas des capacités pour rédiger et trouver les sujets qui intéresseront votre cible … Être consultant en informatique ou en prévoyance ne garantit pas la qualité du fond et de la forme. Tous les marketeurs n’écrivent pas de bons contenus. Ce n’est pas un aveu d’impuissance que de reconnaitre qu’un spécialiste de la génération de contenu vous serait très utile. C’est au contraire un bon moyen de garder la maîtrise du projet tout en faisant réaliser par un expert des tâches où votre valeur ajoutée pourrait s’avérer faible. Cet expert peut également vous accompagner pour former vos équipes et mettre en œuvre votre stratégie afin de vous faire gagner ensuite en autonomie et en créativité.

Je suis à votre disposition pour en discuter et échanger au sujet de votre stratégie de génération de contenu !

Vous avez un projet ? Contactez-nous !

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Formation Construire un discours commercial argumenté et percutant

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Développement commercial: sans argumentaire point de salut…

Comment développer son chiffre d’affaires ou accélérer son développement commercial sans un argumentaire qui tient la route ? Comment s’y prendre pour construire un argumentaire percutant et efficace, centré sur les attentes du client ?

La méthode BAC pour être plus performant dans la création de son argumentaire

Avec la formation Construire un discours commercial argumenté et percutant, vous allez acquérir des techniques et développer votre capacité d’argumentation grâce à une approche reposant sur la théorie mais aussi et surtout, beaucoup de pratique. En effet, vous allez créer votre propre argumentaire pendant cette formation et mettre immédiatement en application les techniques présentées par la formatrice !

TECHNIQUES D’ARGUMENTATION

Formation Construire un discours commercial argumenté et percutant

Objectif de la formation Construire un discours commercial argumenté et percutant

Intégrer les notions de base de l’argumentation commerciale et construire son argumentaire

  • Connaitre les notions de base de l’argumentation marketing et commerciale
  • Créer un argumentaire commercial selon la méthode BAC
  • Décliner l’argumentaire à l’oral lors d’un entretien de vente
  • Décliner l’argumentaire sur des supports écrits et au format diaporama
  • Traiter les objections
  • Présenter oralement le discours argumenté
Durée
  • Présentiel : de préférence 2 ½ journées – 7h (9h00-12h30/13h30-17h00)
  • Classe virtuelle : 2 ateliers de 3h30 (9h00-12h30) espacés d’une semaine
  • Possibilité d’accompagnement personnalisé et coaching opérationnel
Public Responsable d’équipe à potentiel managérial (commercial, marketing, avant-vente, etc.), managers, consultants, responsables et assistants commerciaux et marketing
Prérequis §Aucun
Intervenant Consultant/Formateur spécialisé dans le marketing et le développement commercial, spécialiste de l’argumentation
Tarif nous contacter
Moyens pédagogiques
  • Apports théoriques illustrés par des exemples concrets
  • Approche pragmatique et participative basée sur des échanges avec le formateur : autodiagnostics, exercices, vidéos, mise en situation, jeux de rôle, débriefing, outils
  • Facilitation visuelle inspirée des méthodes Agile (analyse des situations, livrables)
  • Élaboration d’un plan de progrès individuel et remise d’un support de cours
Suivi et évaluation
  • Collecte des attentes des stagiaires
  • Questionnaires d’évaluation des acquis sur mesure (QCM, questions ouvertes, tests, synthèse écrite, etc.) ou par mises en situation
  • Rédaction d’un compte rendu de formation par le formateur (si nécessaire)
Validation de la formation Formation non diplômante. Remise d’un certificat de réalisation individuel
Temps de mise en œuvre Dès envoi de la convention délai minimum de 30 jours avant entrée en formation

o   Sous réserve de validation de la convention ou accord de financement OPCO

o   Pour les personnes en situation de handicap, délai susceptible d’être allongé du fait de la mobilisation d’interlocuteurs dédiés pour faciliter la mise en œuvre de votre projet de formation

Contenu de la formation Construire un discours commercial argumenté et percutant Introduction : tour de table, présentation de la démarche, attentes

Rappel sur les notions de base de la communication argumentée : Communiquer pour persuader, les pièges de la communication, adapter ses comportements et son langage, utiliser les bons mots, les motivations, la personnalité…

  • Stratégie d’argumentation

o   Analyser le contexte : à qui parle-t-on ? qui sont nos concurrents ? qui sont nos clients ?

o   Différencier bénéfice argument et caractéristique, méthode BAC

§Créer et construire un argumentaire : Identification des problématiques clients, liste des caractéristiques produits, formalisation des bénéfices clients, anticipation des objections, création des messages clés et le vocabulaire associé

Traiter les objections : Méthode de traitement des objections : anticiper, identifier, répondre, Intégration dans l’argumentaire

Mise en application : construction collective d’un argumentaire avec la méthodologie proposée (méthode Post-It), traitement des objections

Entre les 2 demi-journées :  Les participants construisent leur argumentaire et anticipent les objections pour le présenter à l’oral (possibilité création d’un diaporama en complément)

Restitution des argumentaires créés par les participants : présentation orale des messages clés, débriefing, ajustements

Décliner son argumentaire dans le cadre commercial (au choix)

o   Argumenter pendant un entretien de vente

o   Participer à une consultation (soutenance orale)

o   Rédiger une proposition commerciale argumentée

Conclusion et plan d’action individuel : approche individualisée et personnalisée


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communiquer sur ses actions de RSE

Communiquer sur ses actions de RSE : les trois questions à se poser et vite !

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Vous avez mis en place une démarche de Responsabilité Sociale d’Entreprise (RSE) ? Bravo ! Votre entreprise prend ses responsabilités et s’organise pour y parvenir. Encore faut-il le faire savoir ! Communiquer sur ses actions de RSE est un point à ne pas négliger pour faire de votre projet une réalité concrète et business.

Pourquoi communiquer sur ses actions de RSE ?

La première raison de communiquer sur ses actions RSE est avant tout interne.

Ce type de démarche est un véritable chantier d’entreprise qui doit avant tout être porté par l’ensemble de vos équipes. Tout au long du projet, il sera important de « sponsoriser » le projet, d’informer vos collaborateurs et de les impliquer. Rien de mieux qu’une bonne communication pour cela !

La seconde raison est que cette démarche a forcément des influences positives sur vos produits et services, et donc par conséquent, induit des bénéfices pour vos clients actuels et futurs. Le développement durable est un critère de choix pour de plus en plus d’acheteurs, qui influence positivement les clients dans le choix de leurs fournisseurs. Ce serait dommage de vous en priver.

Développement durable

Comment communiquer sur ses actions RSE ?

Pour bien communiquer il faut anticiper. L’aspect communication de votre projet RSE doit être pensé dès le départ, avec des cibles précises et pas seulement pour faire beau. Je m’explique.

Trop souvent, les entreprises communiquent sur leur démarche RSE par un simple pavé sur leur site web ou sur leurs outils commerciaux ou via leur rapport RSE. Ce dernier est nécessaire mais pas suffisant.

Car la démarche RSE impacte l’ensemble de l’entreprise: les RH, la production, le commercial, le marketing… C’est pourquoi elle doit aussi impacter l’ensemble de votre communication et devenir un moyen de développer votre image de marque, votre marque employeur et votre attractivité auprès de vos clients.

1) Auprès des collaborateurs : pour motiver les troupes, rien de tel qu’une communication interne régulière et précise sur les projets mais aussi l’avancement du projet et les bénéfices attendus, puis les bénéfices opérationnels et palpables. Ne limitez pas votre communication à une lettre d’information au début et à la fin du projet. Organisez des réunions, adressez de l’information écrite régulièrement, créez un intranet dédié, bref ne pensez pas que les collaborateurs seront au courant simplement par des discussions autour d’un café mais penser plutôt à expliquer, à valoriser et à évangéliser ! En un mot, gérez le changement aussi au travers de votre communication interne.

N’oubliez pas non plus de communiquer auprès de vos futurs salariés : choisir une entreprise, dans les secteurs où le recrutement est tendu ou difficile, cela passe aussi par le choix d’une entreprise responsable et où il fait bon vivre. La marque employeur n’est plus un buzz word !

2) auprès de vos clients: la démarche RSE impacte la façon de produire et de proposer de nouveaux services. De plus, le développement durable, la qualité, la responsabilité sociétale est aussi devenu un enjeu majeur du marketing et du positionnement des entreprises. C’est un vrai moyen de se démarquer et d’accrocher de nouveaux clients. Cela signifie qu’il est important de réintégrer des éléments de RSE dans votre argumentaire société et produit et de diffuser cette argumentation dans vos outils d’aide à la vente. Montrez, à cette occasion, à vos clients les bénéfices de votre démarche pour eux (les bénéfices pour vous ne les intéressent pas forcément …)

3) auprès des parties prenantes: les investisseurs, les banquiers, toutes les parties prenantes sont intéressées à connaître votre démarche qui ne pourra que valoriser votre image et votre société.

Jusqu’où communiquer sur ses actions RSE ?

Trop communication tue la communication… Je ne vous apprends rien. Ne communiquez pas tout azimut, sur des actions à faible valeur ajoutée. On pense souvent à parler de co-voiturage ou de tri sélectif et pas assez de la politique RH de l’entreprise (formation, égalité homme/femme, travailleurs handicapés, etc.) ou des modifications effectuées dans les achats ou le mode de production. Comme dans n’importe quelle démarche de communication, choisissez les sujets qui auront le plus fort impact sur vos cibles pur éviter l’écueil du greenwashing, qui lave plus vert que vert.

Pour conclure, je dirai que la communication reste le facteur clé de la réussite de votre démarche et de sa valorisation auprès de vos parties prenantes. Ne la négligez pas, car elle reste un des outils indispensables pour faire de votre démarche RSE un véritable outil commercial et RH, à forte valeur ajoutée.

 

Pour en savoir plus sur la communication RSE et vous faire accompagner dans cette démarche n’hésitez pas à nous contacter ou à lire les autres articles sur ce sujet:

Si vous souhaitez digitaliser votre démarche RSE, vous pouvez également vous équiper d’un logiciel dédié comme ceux proposés par notre partenaire IZYPEO  Appelez-les de notre part !


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rédaction de témoignages clients

Rédaction de témoignages clients : le jeu des 7 erreurs (à ne pas commettre)

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Quand il s’agit de générer du contenu, la rédaction de témoignages clients  (ou case studies ou études de cas ou success stories) se révèle un outil à forte valeur ajoutée. Encore faut-il l’utiliser avec pertinence et proposer un contenu de qualité, valorisant pour l’entreprise et son client et permettant à vos clients et futurs clients de s’identifier.

Erreur n°1 : Penser la rédaction de témoignages clients sans stratégie globale

Vos clients sont vos meilleurs commerciaux alors pourquoi ne pas le faire savoir ? En effet, un client qui témoigne et raconte sa collaboration avec une entreprise est forcément un client satisfait. Une fois que l’on a dit cela, on n’a pas tout dit…

En effet, la rédaction de témoignages clients doit faire partie d’une stratégie globale de génération de contenu qui visera toujours à promouvoir l’expertise de vos clients et servir vos objectifs marketing et commerciaux. Vos cas clients sont aussi source d’inspiration pour les tribunes d’expert, des référentiels de bonnes pratiques ou des conférences que vous animerez. Pensez global !

Erreur n°2 : Négliger la qualité du contenu

Au-delà de la simple mise en avant des produits et services, il s’agit aussi de permettre à vos clients de se projeter dans l’histoire d’autres professionnels et de lire un retour d’expérience qui leur apportera à la fois de l’information et des idées. La qualité du contenu est essentielle à la réussite de vos témoignages clients car ils doivent avant tout séduire vos lecteurs et leur donner envie de vous contacter pour en savoir plus. La rédaction de témoignages clients doit être pertinente, raconter une histoire (intéressante de préférence) et apporter « de l’eau au moulin » autour de la thématique abordée. Ainsi un témoignage d’un e-commerçant sera intéressant pour ses confrères s’il peut raconter l’histoire de sa réussite, la mise en place d’un nouveau logiciel de supervision pourra intéresser un responsable de production informatique si le témoignage permet de faire ressortir les erreurs à ne pas commettre dans la gestion de son projet, etc.

Erreur n°3 : Réduire la rédaction de témoignages clients à des citations très gentilles ou à un simple avis client

Un cas client n’est pas une citation, ou un avis client ou un carton de remerciement. Écrire que « Whaou ils sont super dans cette entreprise et le produit il est vraiment top! », ce n’est pas rédiger un cas client…

Ce qui intéresse un lecteur potentiel c’est la problématique qu’avait le client avant de se lancer dans son projet, quels ont été ses critères de choix, comment il a mené son projet, quels bénéfices il en a tiré et quelles sont les perspectives… Il faut aussi et surtout citer le client, le faire parler avec des citations relativement longues où il racontera SON projet, vu et surtout vécu par lui-même. Pas par votre entreprise.

Erreur n°4 : Ne voir que la référence client

Avoir une belle référence client c’est bien. Avoir un projet intéressant à raconter avec ce client, c’est tout de même mieux. Il est donc important de bien choisir les cas clients et de parfois privilégier des entreprises moins connues mais dont le projet est réellement intéressant à raconter plutôt que de citer un projet de faible envergure et à faible impact réalisée dans une grande entreprise.

Erreur n°5 : Ecrire un témoignage client et pis c’est tout…

Les témoignages de vos clients peuvent prendre plusieurs formes : le rédactionnel sous forme de publireportage, l’interview, la participation à une conférence mais aussi une vidéo qui aura le mérite d’être très complémentaire à un rédactionnel et plus visuelle. Il s’agit ensuite de le diffuser et d’en tirer le meilleur parti !

Le témoignage client – rédactionnel ou vidéo – peut être intégré dans le kit d’outils d’aide à la vente pour les commerciaux, être exploité aisément par les attachés de presse sous forme de communiqué de presse de type « retour d’expérience » mais aussi mis en ligne sur votre blog votre site web, sur les réseaux sociaux (viadeo, facebook…), dans vos newsletters, etc. Et bien sûr, vous pouvez demander à vos clients d’intervenir lors de conférences et autres « speaking opportunities ». Ce sont également de très bons outils pour réaliser des campagnes d’inbound markéting ou d’ABM.

Erreur n°6 : Penser le projet uniquement autour de la rédaction de témoignages clients et/ou du tournage

La prise en charge complète du projet couvre un certain nombre d’étapes indispensables, qui peuvent, sans méthodologie, s’avérer aussi laborieuses que chronophages :

  • La définition du contenu du témoignage : ligne éditoriale (quel style choisit-on, interview ou rédactionnel, video et/ou papier et numérique…), format du reportage si ce choix a été fait (type JT, video…), charte graphique…
  • La demande d’autorisation auprès du client : prise de RDV, création des outils de communication (mails, lettres), organisation des interviews en interne (commercial, responsable du compte, technicien…) et chez le client, par téléphone ou en face à face
  • La rédaction et le montage : rédaction des documents, montage, mise en page
  • La validation finale en interne, auprès de l’interlocuteur puis de la direction de la communication

En résumé, sans méthodologie ni vision globale du projet, point de salut.

Erreur n°7 : Oublier que sans l’autorisation du client, vous ne pouvez rien faire…

Rédiger vous paraît peut-être le plus difficile, détrompez-vous ! Obtenir les autorisations et fixer les rendez-vous pour réaliser les interviews est souvent très long et complexe.

N’oubliez pas de valider l’accord de votre interlocuteur avant d’enclencher le projet et surtout validez que vous disposez des autorisations des directions de la communication ou des dirigeants de l’entreprise qui témoigne.

Pensez à aider votre interlocuteur à obtenir les autorisations en interne en lui adressant un mail récapitulatif qu’il pourra ensuite transférer à ses responsables. Rédiger et ne pouvoir publier, ce serait vraiment « ballot » …

Envie de savoir comment faire ?

Deux solutions :

  • Vous former avec nos rédacteurs professionnels !
  • Nous contacter pour nous confier vos témoignages clients !

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gestion du temps

Pourquoi une formation Gestion du temps n’est pas une perte de temps mais une priorité !

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Gérer son temps est un élément fondamental de la performance des managers et de leurs collaborateurs. Nous nous sentons souvent dépassés par le temps et nous avons du mal à équilibrer vie personnelle et vie professionnelle. Aussi, nous pouvons rapidement devenir frustrés et aigris avec un sentiment récurrent : nous subissons le temps au lieu de le maitriser. Bonne nouvelle : gérer son temps s’apprend ! Mais si la méthodologie et les bonnes pratiques sont importantes dans cette démarche (et s’apprennent dans une formation Gestion du temps et des priorités), elles ne suffisent pas à maitriser le temps. Le premier facteur (comme souvent), c’est la motivation !

« Le problème, c’est pas le problème, le problème c’est ton attitude face au problème! »

Question gestion du temps, ce grand principe de notre cher Jack Sparrow s’applique complètement ! Le premier problème avec la gestion du temps ce n’est pas le temps mais vous et votre façon d’aborder le sujet !

gestion

Non ! Le temps n’est pas de l’argent !

La première étape consiste avant tout à prendre conscience de l’importance du temps et de sa propre attitude face à la gestion du temps. Cela afin d’évoluer vers une vision proactive et non plus réactive de la gestion du temps et des priorités. Voici trois (petites) réflexions qui peuvent vous aider à comprendre l’importance de votre démarche face au temps (désolée cela va peut-être un peu vous saper le moral !) :

gestion du temps1. LE TEMPS EST UN CAPITAL PRÉCIEUX

Le temps est bien plus que de l’argent. C’est un bien compté, qui ne peut pas s’acheter, ni s’épargner, ni s’économiser. Il s’écoule continuellement et irrévocablement (non ne sautez pas tout de suite par la fenêtre !).

2. LE TEMPS C’EST LA VIE

Il est donc important de prendre conscience que notre capital temps est limité et qu’il faut donc essayer d’en tirer le meilleur parti. Il faut investir correctement notre capital temps.

3. UNE GRANDE PARTIE DE NOTRE TEMPS PART EN FUMÉE

En effet, on constate généralement que seuls 30 à 40% de la journée est réellement efficace pour les hommes et les femmes au travail. A nous de bien investir dans notre gestion du temps.

L’histoire du bucheron… ou comment le serpent se mord la queue (et se fait mal…)

A ce sujet, peut-être connaissez-vous l’histoire du bucheron ? C’est une de mes histoires préférées. Un homme se promène dans les bois et aperçoit un bucheron qui scie une énoooorme branche avec une scie mal affutée. Pensant bien faire, l’homme lui demande : « pourquoi n’affutez-vous pas votre scie ? Vous gagneriez du temps ! ». Le bucheron lui répond alors : « je ne peux pas je n’ai pas le temps… ». Voici résumée toute la problématique de la gestion du temps.

Prendre le temps de mieux s’organiser – ce qui peut paraître comme une perte de temps – va au contraire vous permettre de mieux gérer votre temps et d’être plus efficace. Prenons juste un chiffre. 8 minutes de planification par jour fait gagner ne moyenne une heure sur son travail. Ainsi, une heure que vous pourrez passer au choix, à caler un cours de danse orientale tous les lundis, faire un Lego géant avec vos enfants, mieux travailler vos dossiers avant les consultations, … et bien sûr, être moins sous pression.

Bonne nouvelle : gérer son temps s’apprend !

2ème bonne nouvelle : si vous êtes motivé vous pouvez y arriver avec une formation Gestion du temps et des priorités !

Il existe des techniques pour mieux gérer son temps, techniques qui ne fonctionnent que si l’on s’en sert et que si l’on a envie de s’en servir…

Car sans motivation, point de salut pour le manager ou le collaborateur débordé… Au cours de la formation  gestion du temps que j’anime, je ne fais qu’expliquer des lapalissades aux participants : planifiez, classez, anticipez, déléguez… entre autres… Souvent ils sont persuadés de savoir tout cela mais ne parviennent pas à le mettre en place faute de motivation et de méthodologies concrètes. C’est à cela que sert une formation en gestion du temps : à se poser une journée pour affuter sa scie. Elle vous permet de prendre une journée pour se regarder le nombril et mieux organiser votre travail et vos priorités pour gagner en efficacité et sérénité. Nombre d’astuces et de bonnes pratiques nécessitent moins de 10 minutes pour être mises ne place et être opérationnelles.

Et non ! Ce n’est pas une punition d’aller en formation gestion du temps !

Vraiment, ce serait dommage de se priver d’une formation gestion du temps …

Et vous comment gérez-vous votre temps ? N’hésitez pas à commenter cet article !

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