Author Archives: Stéphanie Michel Amato

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journal du net tribune centreon 7 fev 2017

Exemple de Tribune d’expert pour Centreon

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La tribune d’expert est un outil de génération de contenu particulièrement pertinent pour mettre en avant votre compétence et votre expertise auprès de votre cible de prospects et de clients. Que vous souhaitiez évangéliser, donner des idées ou proposer des axes de réflexion à vos clients, la tribune d’expert peut être la réponse adaptée. Voici un exemple de tribune d’expert réalisée par la société Centreon, éditeur de solution de supervision IT et acteur majeur sur son secteur d’activité.

Tribune d’expert Centreon:

L’évolution des modèles économiques des logiciels libres, source d’inspiration pour la stratégie IT de l’entreprise.

 

Des tout premiers ordinateurs livrés avec leurs sources à la révolution numérique portée par le cloud, la puissance d’innovation du modèle technologique et économique du logiciel libre a toujours été l’un des terreaux les plus fertiles pour la mise en œuvre de stratégies IT innovantes et pertinentes. Mais en quoi ce modèle a-t-il été un accélérateur des nouveaux usages numériques ? Et comment le logiciel libre a ouvert la voie à une informatique d’entreprise qui place la facilité d’accès à l’information au cœur de sa transformation numérique ?

A l’origine était le logiciel libre…

Si la naissance officielle des logiciels libres remonte aux années 80 – avec la définition des critères par Richard Stallman fondateur de la FSF (Free Software Foundation) et père du projet GNU et de la licence GPL (petit retour sur nos classiques) – l’origine de l’informatique est intimement liée à la notion de logiciel libre. Les premiers ordinateurs étaient, en effet, livrés avec leurs sources (systèmes d’exploitation compris) que les clients pouvaient modifier à leur guise afin d’en maîtriser les fonctionnalités et la maintenance. Chemin faisant et face au succès rencontré par les logiciels libres en dehors des communautés de développeurs, est apparu, le logiciel open source, défini pour la première fois par Christine Peterson du Foresight Institute en 1998 (et les puristes considèrent que logiciel libre et open source ne relèvent pas de la même philosophie – modèle social pour l’un et modèle de développement logiciel pour l’autre).

journal du net tribune centreon 7 fev 2017Lire l’intégralité de la tribune d’expert de Centreon

 


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AJEM Consultants vous souhaite une bonne année 2017

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Ensemble développons les talents de vos collaborateurs, de vos équipes et de votre entreprise !

Fabrice et Stéphanie vous présentent leurs meilleurs vœux pour 2017 et vous souhaitent une bonne année 2017, pleine d’innovation et de rêves !

Pour notre part, nous sommes à présent armés pour une nouvelle année avec l’arrivée officielle de Fabrice, notre consultant coach dans l’équipe, depuis début décembre !

A très bientôt

 

 


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Externalisation video cas client: pourquoi pas vous ?

Envie de faire témoigner vos clients ? la réponse en 4 mots: externalisation video cas client !

 

Voici un exemple de réalisation intégrant une vidéo et un rédactionnel de cas client pour un de nos clients. Nous avons pris en charge la rédaction du témoignage ainsi que le tournage de la video cas client, dans les locaux du client de notre client.

Colis Privé améliore la satisfaction de ses clients avec MicroStrategy

« La plate-forme de BI de Microstrategy a contribué à réduire de 25% le taux de réclamations grâce à la mise en place d’une solution de supervision en temps réel des indicateurs qualité, accessible en mobilité 24/7 et exploitable directement avec la BI self-service.»

Laurent BAILLET, Directeur des Systèmes d’Information – Colis Privé

Les points clés

  • Une véritable plate-forme de BI pour piloter la politique de qualité de service dans l’ensemble de l’entreprise
  • Un accès en mobilité interne et externe à l’ensemble des tableaux de bord sur tablette et smartphone
  • Des utilisateurs plus autonomes et plus réactifs grâce aux fonctions de BI self-service

Colis Privé en quelques mots : Vous êtes suivi !

L’histoire de Colis Privé débute en 1993, à une époque où la traçabilité des colis n’existait pas et le service rendu aux consommateurs n’était pas encore une priorité. L’entreprise est créée sous le nom de DistriHome par la société de VAD Yves Rocher pour sécuriser la livraison de ses colis. Depuis, l’entreprise a changé de nom et n’a cessé de se développer, améliorant ses processus et bénéficiant du boum du e-commerce. « Colis Privé est le 1er opérateur privé français de livraison de colis au grand public. Nous livrons chaque année 35 millions de colis partout en France pour les grands acteurs européens du e-commerce, » explique Laurent Baillet, Directeur des Systèmes d’Information.

« Le principal enjeu dans notre secteur d’activité est de suivre la qualité de service au quotidien et en temps réel dans un contexte de forte croissance de l’activité. »

Avec le triplement du marché du e-commerce entre 2009 et 2016, l’entreprise a su faire face à un défi majeur : continuer à assurer un niveau de service et de qualité optimal tout en absorbant des volumes de colis toujours croissants. « La qualité est un enjeu majeur pour notre secteur d’activité car nous devons satisfaire tous nos clients destinataires », précise Laurent Baillet. « Nous souhaitions nous équiper d’une véritable plate-forme de BI afin de mettre en œuvre notre politique qualité, en compilant l’ensemble des indicateurs pour suivre l’activité au quotidien ». Les critères de sélection de la solution vont alors porter sur trois points essentiels : la puissance fonctionnelle, la mobilité et la BI self-service. « Parce que nous sommes à présent dans une ère digitale, nous ne concevions pas une solution de BI sans une ramification mobile permettant à nos itinérants de suivre à distance et en temps réel l’activité de l’entreprise, » souligne Laurent Baillet. « L’autre critère important était la possibilité pour nos équipes support basées au siège (DRH, Finance, Marketing, Qualité, etc.) d’être totalement autonomes sur leurs tableaux de bord pour piloter leur activité. »

« Nous souhaitions mettre à disposition de l’ensemble de nos collaborateurs une plate-forme de BI complète, mobile et sécurisée pour piloter nos actions qualité. »

Lors de la consultation, MicroStrategy va très rapidement faire la différence grâce aux possibilités de développement d’applications sur tablette et smartphone offertes par son intégration native de la mobilité. « Grâce à sa puissance fonctionnelle et ses outils de mobilité, nous avons pu donner accès à la solution à un large panel d’utilisateurs dans l’entreprise, » se félicite Laurent Baillet. « Dans chacune de nos 21 agences régionales, nous avons déployé des écrans de supervision qui proposent, en temps réel, des tableaux de bord avec des indicateurs très lisibles. Au siège, nos utilisateurs sont plutôt des consommateurs de BI self-service, capables de créer des tableaux de bord à la demande à partir de données consolidées et certifiées par la DSI. » En outre, le haut niveau d’intégration de la sécurité offre la possibilité de visualiser, cloisonner et tracer les traitements effectués sur l’entrepôt de données.

« Les bénéfices se résument en trois mots : productivité, autonomie et disponibilité »

La solution développée sous le nom de CUBE QUALITE a été rapidement déployée et adoptée par l’ensemble des équipes. En agence, l’écran de supervision est accessible à tous et rassemble, de façon très visuelle, l’ensemble des indicateurs qualité. Une approche particulièrement appréciée des utilisateurs, comme nous le confirme, Abderahim Belhaj, directeur de l’agence de Vitrolles : « c’est un outil facile à utiliser car, en un seul coup d’œil, nous pouvons voir où nous devons travailler et cela, en quasi temps réel, car les indicateurs sont mis à jour régulièrement, parfois de quart d’heure en quart d’heure. Ces indicateurs (sectorisation, taux d’avisage, taux de réclamation, etc.) nous permettent de suivre la vie du colis de la prise en charge à la livraison mais aussi d’identifier rapidement les actions correctives en cas d’anomalie. »

Mêmes échos positifs au siège de Colis Privé où la solution a rapidement produit des résultats concrets. « Nous avons identifié trois bénéfices principaux suite à la mise en production du CUBE QUALITE», constate Laurent Baillet. « Tout d’abord, je citerai la productivité parce que nous compilons plus facilement des rapports que nous diffusons plus rapidement. Le second bénéfice est l’autonomie car la BI self-service permet aux équipes de réaliser elles-mêmes leurs tableaux de bord avec des données certifiées par la DSI. Et pour finir, la disponibilité grâce au pan mobilité de la solution MicroStrategy qui permet un accès aux données 24/7 et sur terrain. »

« En terme de ROI, nous avons retenu la réduction de 25% du taux de réclamations sur un an »

En terme de ROI, là aussi, les chiffres parlent d’eux-mêmes : « Pour nous, la baisse de 25% du taux de réclamations est le plus significatif car particulièrement stratégique, » explique Laurent Baillet. « Depuis plusieurs années, nous menons une politique d’amélioration continue de la qualité et MicroStrategy a fortement contribué à ce projet. Grâce à notre plate-forme de BI, nous avons construit un outil de supervision en temps réel de tous nos indicateurs qualité accessibles à tous. »

«  Notre architecture informatique s’oriente vers du Microstrategy Centric ! »

Après ces excellents résultats, la DSI de Colis Privé ne compte pas s’arrêter là car les possibilités offertes par la plate-forme MicroStrategy ouvrent de nouvelles perspectives en matière de politique qualité et de relation client. La prochaine étape est de proposer une application mobile à destination des clients de Colis Privé afin qu’ils puissent accéder directement à leur propre CUBE QUALITE et à leurs indicateurs. Et Laurent Baillet de conclure : «  MicroStrategy est maintenant dans l’entreprise depuis 4 ans, avec une montée en puissance progressive qui nous permet de bénéficier d’une grande maturité sur ce sujet. La qualité de la solution et l’expertise des équipes ne se sont jamais démenties. Nous devons aller toujours plus vite et la mobilité devient un point essentiel. Le principal axe d’amélioration est à présent la diffusion numérique de nos indicateurs auprès de nos clients. Il est clair que nous nous dirigeons vers une architecture informatique MicroStrategy Centric ! »

Découvrez noter article sur les 7 erreurs à ne pas commettre pour faire témoigner ses clients

 

 


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argumentaire commercial

Préparer sa stratégie d’ argumentation : pour éviter de faire rimer argumenter avec improviser…

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Argumenter est une tâche à la fois naturelle – nous argumentons tous les jours quand nous tentons de convaincre notre petit dernier d’aller se coucher – et complexe. Chaque jour, nous y sommes confrontés et certaines « séances » d’argumentation, peuvent parfois revêtir un aspect crucial, en particulier dans la vie professionnelle. Voici 6 étapes indispensables pour réussir sa stratégie d’argumentation.

Etape N°1 : préparer votre stratégie d’ argumentation

Dans ce domaine, l’improvisation et les claquettes ne sont pas de mise, malgré ce que peuvent dire certaines personnes très à l’aise dans leurs baskets. L’argumentation prend place dans une communication dynamique qui nécessite d’intégrer des réactions de l’auditoire, de savoir gérer l’imprévu et l’évolutivité de la situation. Il y a autant de situations que d’argumentations mais aussi de nombreuses variables à prendre en compte avant d’argumenter : le contexte spatio-temporel, vos interlocuteurs, leurs objectifs et les vôtres, les enjeux, le temps dont vous disposez, les règles mêmes de l’échange…

Les trois principales variables à intégrer sont : vous, votre auditoire et le message que vous souhaitez faire passer qui sera influencé par le contexte organisationnel et institutionnel, le lieu, le temps alloué, etc. Il est donc indispensable d’analyser la situation – avant et pendant l’argumentation – et de se poser les bonnes questions :

  • A QUI je parle?
  • QUEL OBJECTIF ai-je?
  • DE COMBIEN DE TEMPS je dispose?
  • DANS QUEL ESPACE j’évolue ?
  • A QUEL MOMENT j’interviens ?
  • AVEC QUELLES REGLES DU JEU ?
  • AVEC QUELLES LIMITES ET CONTRAINTES ?

Etape N°2 : définir vos objectifs

Argumenter c’est bien mais avec quel objectif ? Pour un vendeur, l’objectif est d’amener le client à acheter le(s) produit(s) ou service(s) qu’il vend pas de réussir à placer tous ses arguments. Pour l’avocat, l’objectif est d’obtenir la sanction la moins lourde pour son client et non de rivaliser avec Robert Badinter. Pour les publicitaires, l’objectif n’est pas de créer la plus belle pub mais la plus efficace !

Un objectif est un but précis à atteindre, un résultat concret dans un délai. Il peut être variable en fonction du contexte d’argumentation (vendre, convaincre, présenter un projet, etc..). Il est toujours opportun de prévoir un objectif principal et un objectif intermédiaire qui peut être, par exemple, de susciter l’écoute, de créer un climat favorable… Il faut également prendre en compte les objectifs de ses interlocuteurs et comprendre ce qu’ils attendent. Cela nous amène à la 3ème étape…

Etape N°3 : tenir compte du public concerné

Présenter une innovation majeure se fera différemment en fonction que vos interlocuteurs sont des collaborateurs, des actionnaires ou des clients… Une réflexion sur l’auditoire s’impose afin d’identifier les motivations de chacun avant et pendant l’argumentation.

Etape N°4 : construire votre argumentation

Il s’agit à présent de trouver les bons arguments et de les organiser de la façon la plus pertinente possible. Pour cela il faut :

  • (INDISPENSABLE) Trouver les bons arguments : cela peut se faire grâce au brainstorming (ou atelier de création d’arguments) qui repose sur la spontanéité, ou grâce à une production plus organisée s’appuyant sur des éléments existants : études, études, rapports, livrables d’un projet, etc.
  • Et (INDISPENSABLE aussi ) prévoir les contre-arguments ( !) : et oui… Se mettre dans la peau d’un interlocuteur afin de prévoir les oppositions est aussi important. N’oubliez pas que les objections sont souvent la bête noire de celui qui argumente et qu’il est toujours plus pertinent de ne pas donner le bâton pour se faire battre. Il faut donc an-ti-ci-per !

Une fois vos arguments identifiés, il s’agit alors de sélectionner les bons arguments en fonction de la cible et de l’objectif, les hiérarchiser en isolant les plus importants et en les regroupant par grandes thématiques, s’obliger à limiter le nombre d’arguments pour se concentrer sur l’essentiel, et pour finir, inscrire ses arguments dans une logique et une cohérence globales

Etape N° 5 : formaliser vos arguments

Cette étape consiste à poser sur le papier (ou votre document numérique) votre argumentaire dans sa globalité. Pour cela, la règle des 4 C b vous sera d’un grand secours : vos arguments doivent être courts, clairs, concis et concrets… Une idée par phrase est largement suffisante et le langage doit être adapté à votre interlocuteur. D’où l’importance de travailler sur des éléments de langage (ça vous rappelle quelque chose ?). Chaque mot a une signification mais pas toujours le même poids face à votre auditoire.

Etape N°6 : tester et vous entrainer

On n’a jamais vu une danseuse exceller dans la danse du cygne noir en regardant des vidéos… il n’y a pas de miracle, savoir argumenter nécessite du travail. Vous pouvez tout d’abord tester votre argumentation par autoévaluation – quel est l’argument? Est-il clair pour mes interlocuteurs? Quel est le niveau de compréhension de mes interlocuteurs?- puis tester votre discours sur d’autres personnes. Si vous parlez en public, la répétition ne sera pas un luxe…

Être à l’aise à l’oral ou un tant soit peu intelligent ne suffit pour réussir son argumentation. Il faut TRA-VAIL-LER…

N’hésitez pas à commenter cet article en proposant vos trucs et astuces pour réussir vos argumentations !

voir aussi: Savoir argumenter (ou pas) dans la vie professionnelle

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Argumentaire commercial: « Un avantage concurrentiel, c’est comme la culture, moins on en a et plus on l’étale… »

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Faire du marketing produit ne s’invente pas … Lister des avantages concurrentiels est une première étape. Choisir les meilleurs à mettre en avant est une autre histoire…  Il ne suffit pas de se gausser d’un avantage concurrentiel qui ne fait pas vraiment la différence pour réussir. Il s’agir plutôt de savoir identifier les bons arguments et définir un positionnement à valeur ajoutée grâce à des avantages concurrentiels réels.

En marketing, il ne faut pas confondre, dire en premier et faire en premier… J’ai récemment constaté une dérive à ce sujet dans la communication de certains éditeurs de solutions e-commerce, me donnant ainsi l’occasion de pointer des pratiques dont je ne suis pas particulièrement fan.

« Rien ne sert de « mentir », il faut partir à point…

Dans ce secteur, l’innovation réside précisément dans l’approche métier et fonctionnelle plus que dans la technologie. Les hostilités entre éditeurs sont lancées depuis plusieurs années et c’est à celui qui aura la solution qui possède le plus de fonctionnalités, le plus de récompenses, le plus d’ouvertures de comptes, etc. À plusieurs reprises, un éditeur a communiqué fortement sur une fonctionnalité de sa solution en affirmant être « la première solution ecommerce d’envergure » à la proposer. Outre le fait que les concurrents apprécieront la notion d’ « éditeur d’envergure »,  plusieurs d’entre eux ont déjà intégré en standard et depuis plusieurs années, cette fonctionnalité (au demeurant minime dans le fonctionnement de l’application). Malgré cela, on ne peut pas nier que la communication a été faite de façon percutante. Sans démenti des concurrents, on peut s’interroger sur le devenir de cette affirmation qui risque de rester dans les mémoires des clients potentiels.

Pas très déontologique mais efficace ? Telle est la question… Ce qui fait pouffer les concurrents peut s’avérer une stratégie gagnante, au moins pour attirer des contacts entrants. Il sera intéressant de voir sur le long terme si cette attitude ne risque pas de desservir la marque.

« Monsieur, j’l’ai dit en premier… pis après, il m’a copié ! »

école

Il est intéressant de remarquer qu’à la question« est-ce une bonne idée ? », l’un des concurrents de cet éditeur a répondu immédiatement « oui » ! En effet, dans la foulée, le concurrent en a « remis une couche » sur le même sujet, centrant sa communication sur cette fonctionnalité nouvelle intégrée dans sa solution. Vidéo, emailing, tutoriel,… tout a été bon pour communiquer sur cette « exceptionnelle » fonctionnalité.

Un peu avant cet épisode, nous avions déjà eu droit à une course à l’avantage concurrentiel qui n’en est pas un : le nombre de fonctionnalités. C’est ainsi que cette course a permis, à l’un des deux concurrents, d’être l’auteur d’une phrase d’anthologie dans l’un de ses supports d’aide à la vente : « une solution avec plus de 312 fonctionnalités ». 312 et demi alors ?

Cet exemple peut être dupliqué sur plusieurs secteurs d’activité, comme celui du conseil en marketing ou en relations presse où l’on retrouve régulièrement des offres de prix délirantes (très élevées ou très basses), des références « bidons » ou la mise en avant d’une équipe de deux personnes sur un projet (mais incluant un senior et un junior dont tout le monde sait pertinemment qu’il travaillera sur le dossier en lieu et place du senior). Quand ce n’est pas le classique argument de choc : « économisez 2000 euros en nous choisissant »… Aucun fait ne venant étayer l’affirmation, on a envie de dire : « 2000 euros économisés, whaou ! Mais par rapport à quoi ? »

Conclusion : rédiger un bon argumentaire commercial n’est pas juste un exercice de style…

J’ai toujours eu des doutes sur la mise en avant d’avantages concurrentiels qui n’en étaient pas vraiment et sur le pari que font certaines marques de les utiliser.  C’est un risque à prendre en terme de crédibilité face aux clients (qui ne sont pas plus bêtes que les autres, ils consultent Internet aussi…)  mais aussi face à des concurrents qui peuvent alors se lancer dans une surenchère de communication sur des avantages concurrentiels inintéressants et sans valeur ajoutée. Une surenchère qui peut avoir, pour conséquence, de décrédibiliser toute la profession…

Toute cette énergie pourrait peut-être être utilisée pour développer l’esprit d’innovation  dans l’entreprise ce qui permettrait justement d’avoir de vrais arguments à mettre en avant reposant sur de vrais avantages concurrentiels, qui sur le long terme, seront surement plus productifs en terme d’image… et de chiffre d’affaires.


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Pour assurer le succès d’une opération de télémarketing réalisée en interne… il vaut mieux se former

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telemarketingAu sein d’AJEM Consultants, nous avons développé une expertise dans le domaine de la prise de RDV qualifiés en BtoB et de la détection de projets. Conscients que toutes les entreprises – en particulier les plus petites – ne peuvent se permettre d’investir dans nos services, il nous semble important de préciser que des formations adaptées permettent de mettre en place rapidement des opérations efficaces de téléprospection et réaliser un transfert de compétence très rapide.

Pourquoi se former pour réussir une opération de télémarketing réalisée en interne ?

Tout d’abord parce que personne ne se précipite pour faire de la prospection téléphonique ni dans votre entreprise, ni dans les autres. La mauvaise image portée par les vendeurs de meubles et autres cuisines décrédibilise souvent les opérations de téléprospection ; pourtant, rien de tel pour relancer les RDV et le chiffres d’affaires.
Faire de la téléprospection nécessite des techniques et des moyens humains, tout comme pour réparer une auto ou tailler un costume, et l’acquisition de ces techniques débloque souvent de nombreux «verrous psychologiques».

Quand et comment se former ?

A la question QUAND, j’ai tendance à répondre le plus tôt possible. En effet, c’est avant de commencer ses opérations qu’il est nécessaire de comprendre le fonctionnement et les techniques du télémarketing car elles vont conditionner l’organisation de vos campagnes et vous montrer surtout que le télémarketing c’est tout sauf de l’improvisation !
A la question COMMENT, je réponds : en travaillant sur un cas réel – votre première opération planifiée – et en plusieurs étapes ! Rien de plus efficace que de travailler sur son argumentaire pendant la formation et pouvoir le tester le plus rapidement possible.

L’idéal est de pouvoir compléter ce type de formation avec un « coaching opérationnel »  qui permet de faire « une écoute » et de corriger en temps réel les téléprospecteurs.

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Fonction marketing : recrutement en interne vs direction marketing en temps partagé

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Votre entreprise a développé des produits et des services qui sont en phase de trouver leur marché, vos carnets de commandes commencent à se remplir, vous avez trouvé des investisseurs. Il est temps de passer à l’étape supérieure et de mettre en place une véritable stratégie de marketing et de communication pour accompagner la croissance et/ou la levée de fonds. Le dilemme est de savoir s’il faut faire appel à des compétences externes sur le principe de la direction marketing en temps partagé ou recruter pour disposer de compétences internes …

Parce qu’il il n’y a pas de recette magique ni de réponse idéale, il s’agit avant tout de se poser les bonnes questions  pour arbitrer au mieux entre recrutement en interne et direction marketing en temps partagé !

Y a-t-il une culture marketing dans l’entreprise ?

Première question à se poser, celle de la culture du marketing. Dans nombre de secteurs très orientés vers la technique, le marketing est souvent perçu comme un mal nécessaire dans le meilleur des cas (et dans le pire des cas, comme un poste inutile et « vide de sens »). Il est donc important de savoir si l’intervenant, interne ou externe, devra mener une « campagne d’évangélisation » pour faire comprendre l’intérêt d’une démarche stratégique de marketing et remporter l’adhésion des parties prenantes à savoir, le dirigeant, le responsable de la R&D et le responsable commercial à minima.

Dans le cas où il sera nécessaire de convaincre de la pertinence de la démarche, une direction marketing en temps partagé saura peut-être mieux à même de mener cette mission car le consultant possèdera déjà des arguments pour défendre le projet. Ses recommandations seront probablement mieux entendues car elles pourront s’appuyer sur un audit préalable (souvent difficile à réaliser en interne).

Quelle est l’ampleur du chantier ?

Partez-vous de zéro ou avez-vous déjà engagé des démarches marketing ? Faut-il tout construire ou simplement améliorer et industrialiser ? Si vous devez démarrer votre projet marketing de rien, vous avez besoin de compétences et d’expérience. Il sera souvent plus pertinent de passer par un consultant externe, et surtout expérimenté, qui sera capable de mettre en place la stratégie, les méthodes et les outils de façon efficace et rapide. L’embauche d’un collaborateur pourra ensuite être pertinente, s’il est en mesure de s’approprier les méthodes et outils mis en place par le consultant et les développer sur le long terme.

Avez vous du temps ?

Autre élément important dans votre réflexion : le temps dont vous disposez pour mettre en place votre stratégie marketing. Le consultant externe prend, en théorie, plus rapidement la mesure de la mission (le consultant étant sensé comprendre rapidement les enjeux et problématiques de ses clients) mais un collaborateur interne aura aussi l’avantage de connaître le secteur d’activité et l’entreprise. Aussi, si votre temps est très limité, l’idéal est de pouvoir associer les deux forces, internes et externes…

…et de l’argent ?

Autre sujet qui fâche : le budget que vous comptez affecter à la mise en place de votre stratégie marketing. De quel budget disposez-vous ? Avez-vous les mains libres ou devez-vous optimiser votre budget ? Si vous devez mettre en place une démarche marketing complète, vous devrez faire appel soit à un consultant soit à un « marketeur senior ». Ce dernier aura forcément des prétentions salariales supérieures (ce qui est tout à fait légitime) mais est en théorie mieux placé pour développer votre marketing. Avec un budget réduit, vous pouvez être tenté d’opter pour un junior avec les risques que cela comporte. Il est alors intéressant de comparer le coût d’un consultant externe avec l’embauche d’un junior car les coûts sont souvent proches. Le consultant (expérimenté et digne de ce nom) sera peut-être plus cher à l’heure sur le papier mais passera moins de temps sur un même sujet, sera plus autonome et surtout plus efficace.

Pouvez-vous vous impliquer dans le process ?

En tant que dirigeant ou sponsor du projet, avez-vous du temps à consacrer à ce projet ? Pourrez-vous piloter et encadrer un collaborateur en interne ? Si vous recrutez, n’oubliez jamais qu’un collaborateur, même le plus performant du monde, aura besoin d’être managé et d’échanger avec vous. Ce qui est aussi valable, dans une moindre mesure avec le consultant, qui est sensé être plus autonome mais a besoin d’échanger avec vous un minimum.

Qui va piloter le projet ?

Il vous faut mettre un pilote dans l’avion du marketing, capable de coordonner les actions, de gérer les différents intervenants, internes comme externes, de vous alerter en cas de retard ou de dysfonctionnement. Un collaborateur interne aura plus de proximité avec les équipes mais peut manquer de recul. Il peut être plus impliqué affectivement dans le projet contrairement au consultant.

Êtes-vous prêt à recevoir des conseils et des contradictions ?

Cela peut paraître évident mais faire appel à un consultant qui prendra la direction marketing en temps partagé veut dire être prêt à recevoir des conseils. Mais aussi à être plongé sans ménagement dans ses propres contradictions, les dysfonctionnements de son entreprise, ses défauts de management ou de gestion. Le consultant, parce qu’il respecte une certaine déontologie et qu’il se doit de rester intègre et objectif, est là pour vous conseiller et vous « dire les choses en face ». Ce qu’un collaborateur ne pourra ou ne voudra pas toujours faire (et encore moins au sein d’une entreprise familiale).

Aussi, avant de bénéficier d’une direction marketing en temps partagé ou de faire appel à un consultant pour vous aider à construire un plan marketing qui sera ensuite appliqué en interne par votre responsable marketing, vous devez vous assurer que vous avez la capacité à l’écouter et à en tirer le meilleur parti.


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Webinar témoignages clients AJEM CONSULTANTS

Webinar CCI Nice Côte d’Azur – Cas client: comment faire de vos clients vos meilleurs commerciaux

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Si la qualité du contenu généré reste primordial (dans génération de contenu il y a contenu !), n’oublions pas qu’il est tout aussi important de rendre ces productions rédactionnelles et vidéo attractives. Voici quelques astuces qui vous permettront de rendre plus attractive votre production de contenu.

Aujourd’hui nous allons répondre à la question: « comment faire de vos clients vos meilleurs commerciaux ? » grâce à la rédaction d’un cas client

Faire témoigner ses clients au travers d’un case study, cas client,  témoignage utilisateur,  retour d’expérience ou  success story, est une démarche particulièrement intéressante dans le cadre d’une stratégie de génération de contenu et de développement de la notoriété. Pas toujours facile de mener à bien ce projet qui consiste à obtenir le retour d’expérience ET l’autorisation de publication de vos clients.

Quand il s’agit de générer du contenu, le témoignage de vos clients (ou case study ou étude de cas ou success story) est un outil à forte valeur ajoutée. Encore faut-il l’utiliser avec pertinence et proposer un contenu de qualité, valorisant pour l’entreprise et son client et permettant à vos clients et futurs clients de s’identifier.

De plus la conception et rédaction des témoignages de vos clients vont vous demander de l’énergie. Profitez-en pour en tirer le meilleur parti.

Ils peuvent prendre plusieurs formes : le rédactionnel, la participation à une conférence mais aussi une vidéo qui aura le mérite d’être très complémentaire à un rédactionnel et plus visuelle. Il s’agit ensuite de le diffuser comme il se doit !

Voici quelques éléments à ne pas négliger pour réussir à faire témoigner vos clients et en faire vos meilleurs commerciaux…


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Création de site web à Nice: Le garage Viallant met son site en ligne avec AJEM Consultants !

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Le garage Viallant est situé au coeur de Nice Ouest.

Conseillé par les équipes de la CCI Nice Côte d’AZur, son dirigeant, Arnaud Viallant a choisi de faire confiance à AJEM Consultants et à ses partenaires Publisoft et Solène Curtius pour créer sa nouvelle identité graphique et son nouveau site !

Un site aux couleurs et à l’image de cette entreprise dynamique, moderne et très sympathique, qui propose des services originaux comme la peinture personnalisée sur tout type de support  !

 

site web garage viallant nice 1

A propos …

GARAGE-VIALLANT-Logo

 

 

Le garage Viallant dispose d’une expérience de plus de 45 ans, transmise de père en fils.

L’entreprise a développé un large panel de services – vitrage, carrosserie, mécanique et entretien, peinture personnalisée – afin de répondre à la demande de ses clients particuliers et professionnels.

Situé au plus près de ses clients particuliers et professionnels, le garage Viallant met à leur service, une équipe de professionnels formés aux dernières nouveauté, un atelier impeccable et des références de qualité en matière de partenariat.

CE QUI FAIT LA DIFFÉRENCE :

  • Des services sur-mesure tels que le prêt de véhicule, l’agrément assurance et le tiers payant, le dépannage 24/24 et 7/7, un service à domicile ou sur site, etc.
  • Une immobilisation réduite de votre véhicule grâce à notre emplacement unique au cœur de Nice Ouest et un travail rapide et soigné.
  • Une équipe formée aux dernières innovations telles que les véhicules hybrides pour garantir un haut niveau de service.
  • Des gages de qualité grâce à notre affiliation au réseau Best Repair et A+ Glass.
  • Une activité éco-responsable : atelier en conformité avec les dernières normes, utilisation de produits et méthodes limitant la nocivité sur notre environnement (respect des normes CEE, peinture à l’eau, recyclage et tri des déchets, etc.).

 


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Création site web CM3 Ingénierie

Création de site web : Le site web de CM3 Ingénierie est en ligne !

AJEM Consultants et son équipe web ont rédigé et conçu graphiquement et techniquement le nouveau site web de CM3 Ingénierie

AJEM Consultants a mis en place une équipe de création de site web avec trois spécialistes: rédaction, création graphique et création web.

Nous accompagnons la société CM3 Ingénierie depuis plusieurs années en marketing et développement commercial et dans ce cadre, nous avons développé et conçu le site web de CM3 Ingénierie, spécialiste des plates-formes logicielles et matérielles dédiée à la prise de paris, à destination des opérateurs de paris et loteries nationales.

découvrez le site web: http://www.cm3gaming.com

création site web CM3 Ingénierie 2

A propos de CM3 Ingénierie : les experts de la prise de pari

Leur métier : concevoir des solutions innovantes de terminaux et de plates-formes logicielles dédiées à la prise de pari

Depuis plus de 20 ans, nos experts, sont sur le terrain aux côtés de nos clients (plus de 5000 points de vente équipés). Ils développent et adaptent nos solutions, dans une logique d’évolution permanente et de collaboration étroite avec les grands acteurs du secteur (PMC, PMU, EDITECH, LUDWIN, PMU International) et leur communauté de clients.

Leur approche : répondre aux enjeux économiques, technologiques et marketing de leurs clients,

Parce que qu’ils connaissent parfaitement les enjeux et les attentes de nos clients, les experts CM3 créent les solutions qui répondent à leur marché et développent, de façon sécurisée, leur activité de prise de pari, grâce à des solutions évolutives, personnalisables et interopérables, parfaitement adaptées à leur environnement d’exploitation.

Leur expertise : une double compétence métier et technologique

Chez CM3 Ingénierie, les experts ont développé une forte expertise dans le pari mutuel et la gestion des réseaux de points de vente en axant leurs compétences sur les solutions technologiques innovantes et une parfaite connaissance du métier. Les bureaux sont basés au coeur de la technopole de Sophia Antipolis, à Vallauris, sur la Côte d’Azur.


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