Category Archives: Stratégie de contenu

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Infographie: 8 bonnes résolutions pour réussir sa stratégie de génération de contenu

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« Aujourd’hui, c’est décidé, je mets en place une stratégie de génération de contenu »

Régulièrement, se pose  la question des bonnes résolutions en matière de communication : « cette année, promis, juré, craché, je vais générer du contenu et me. «  Tout le monde veut en faire, tout le monde veut une belle stratégie de génération de contenu, tout le monde sait qu’il faut en faire, mais personne ne sait comment s’y prendre… Voici quelques bonnes résolutions pour vous aider à générer du contenu de façon pertinente et régulière et éviter de faire rimer « je génère du contenu » avec « je n’en peux plus »:

  1. mettre en place une vraie stratégie
  2. se donner les moyens de tenir ses engagements
  3. anticiper plutôt que réagir
  4. planifier les actions
  5. mettre en place les bons outils
  6. être réaliste et pas trop ambitieux
  7. développer la créativité
  8. externaliser quand cela est nécessaire !

 

 

8 bonnes résolutions pour réussir sa stratégie de génération de contenuPour en savoir plus, consultez l’article de Stéphanie sur les bonnes résolutions pour générer du contenu. Vous y découvrirez le détail de ces 8 bonnes résolutions qui vous apporteront des éléments de réflexion pour la mise en place de votre stratégie de génération de contenu. Cet article nous permettra de prendre conscience également des outils à mettre en place pour réussir ce projet.

Nous mettons régulièrement en place des solutions et des accompagnements pour aider les entreprises à développer leur notoriété, monter en compétence en marketing et en communication, structurer leurs actions mais aussi les optimiser et les rentabiliser grâce à la réutilisation et la cohérence des contenus générés.

 

 

 


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bien rédiger ses faq

Bien rédiger des FAQ : poser la question qui change tout !

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Que ce soit pour réaliser un argumentaire ou pour alimenter le contenu de son site web, rédiger des FAQ pertinentes peut se révéler un excellent outil d’aide à la vente. A condition de les penser comme telles…

Les FAQ, qu’est-ce que c’est?

FAQ signifie en français Foire Aux Questions et vient de l’acronyme anglais Frequently Asked Questions (questions fréquemment posées). Généralement, on retrouve dans les FAQ une liste de questions récurrentes sur un sujet donné avec des réponses qui ont en générale pour objectif de rassurer le lecteur et probablement futur acheteur.

Elles peuvent être utilisées sur vos documents d’aide à la vente (brochures commerciales, plaquettes produits, etc.), sur votre site web ou votre site e-commerce et bien sûr dans les argumentaires que vous remettez à vos commerciaux pour préparer leurs RDV.

Rédiger des FAQ, à quoi ça sert?

Si au départ, on peut supposer que mettre à disposition cette liste permet d’éviter que l’on vous pose toujours les mêmes questions (comment cela fonctionne, est-ce rentable, pourquoi choisir cette technologie, etc.), les FAQ sont aussi un très bon moyen d’anticiper les objections et contre-arguments de vos clients et prospects sur votre offre de produits ou de services. Le principe de traitement d’une objection étant déjà de ne pas les provoquer, utiliser les FAQ permet de limiter « la casse » et de répondre déjà à un certain nombre d’objections identifiées.

N’oublions pas que répondre à une objection est un excellent moyen d’argumenter. Cela signifie que, pour que vos FAQ deviennent un vrai outil d’aide à la vente, les questions et les réponses – devront à la fois être justes et précises mais aussi AR-GU-MEN-TEES ! Elles sont aussi un très bon moyen de se positionner face à la concurrence ce qui est souvent plus complexe à exprimer et formaliser dans un document commercial classique.

Rédiger des FAQ, comment s’y prendre ?

Avant toute chose, n’oubliez pas de créer un argumentaire de vente qui sera la base de la génération de contenu et de la création de vos outils d’aide à la vente. Sans argumentaire point de salut ! (voir à ce sujet un billet de notre blog) . Vous devez également bien connaitre votre marché pour intégrer des données marché et concurrentielles dans vos questions et réponses.

La première étape pour rédiger des FAQ consiste à recenser les questions effectivement posées par vos clients ainsi que les objections. Listez également les problématiques auxquelles vos clients sont confrontées et auxquelles vos produits ou services répondent. Tous ces éléments ont généralement été déjà identifiés et formalisés dans l’argumentaire si celui-ci a été rédigé de façon complète. Pensez toujours à regarder votre offre avec les yeux de vos clients et anticiper les questions ou objections qu’ils pourraient avoir.

Classez-les par thématique, la lecture et les recherches deviennent ainsi plus simples pour vos clients et prospects. Vous pouvez également avoir une meilleure cohérence et harmonie dans vos réponses.

A présent, il s’agit de rédiger à la fois vos questions et vos réponses. Soyez vigilant en particulier dans la rédaction des questions car mieux votre question sera posée et plus la réponse sera évidente pour le lecteur…

Formulez vos questions de façon à faciliter l’argumentation dans la réponse que vous allez donner. Par exemple, si vous souhaitez mettre en avant une caractéristique de votre offre, comme le fait que toutes vos équipes sont en France te vos produits fabriqués dans l’Hexagone, la question sera ainsi rédigée (avec une évocation des concurrents) : « Tout le monde dit qu’il fait du « made in France ». Comment me le garantir ?». De même, vous savez que votre produit est plus robuste que les autres mais que la technologie utilisée a mauvaise réputation : « comment pouvez-vous me garantir que votre approche est plus sécurisée et fiable ? ».

Vous pouvez aussi reprendre des expressions « toutes faites entendues » chez les clients ce qui permet à vos lecteurs de s’identifier plus simplement. Par exemple, vous vendez des bas haute-couture et vous savez que beaucoup de femmes n’osent pas en porter. La question sera ainsi formulée : « mais ce n’est pas mon genre, est-ce que je vais porter ce type de bas ? ».

Les réponses sont alors plus simples à rédiger puisqu’elles seront une « traduction » de votre argumentaire.

Évidemment, n’oubliez pas que l’orthographe et la grammaire devront être impeccables… comme toujours !

7 règles à ne pas oublier pour rédiger des FAQ pertinentes et efficaces

rédiger des faq

Finalement les FAQ ce sont surtout un exercice de style qui consiste à présenter autrement votre argumentation :

  • Pensez vente avant technique
  • Anticipez les objections plutôt que de les provoquer
  • Connaissez vos clients et votre marché avant de rédiger
  • Concevez vos FAQ comme un outil d’aide à la vente et non comme un outil d’information
  • Listez les objections et questions (techniques, commerciales, stratégiques, etc.) qui peuvent bloquer une vente
  • Appliquez-vous autant à rédiger la question que la réponse
  • Et argumentez, argumentez, argumentez…

Voir aussi le diaporama sur ce sujet

ainsi que  le webinar de la CCI Côte d’Azur animé par AJEM Consultants « Bien rédiger ses FAQ »

et pour en savoir plus sur :


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Témoignage client vidéo

Témoignage client vidéo : faire témoigner ses clients en image, le retour gagnant

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Le retour d’expérience de vos clients (ou case study ou témoignage client ou cas client) est un outil à forte valeur ajoutée. Pour votre positionnement marketing mais aussi et surtout pour la génération de leads !

Proposer un témoignage client vidéo permet de valoriser votre projet et celui de votre client. Il  favoriser l’attention de votre interlocuteur qui peut mieux se projeter au travers d’une vidéo !

Voici quelques bonnes raisons d’y consacrer un peu de temps et d’argent. En effet, le témoignage client vidéo va vous permettre de:

  • Mettre en lumière un ou plusieurs savoir-faire de l’entreprise et vous positionner en expert,
  • Développer la confiance et apporter la preuve de votre expertise,
  • Fournir du contenu (site web, blog, newsletter, etc.),
  • Améliorer le référencement,
  • Compléter vos outils d’aide à la vente,
  • mais aussi renforcer vos liens avec vos clients qui y voient aussi un outil pour communiquer en interne sur leurs réussites.

La vraie bonne idée est de proposer un témoignage client rédactionnel ET un témoignage client vidéo. Et de le réutiliser pour une meilleur ROI…

Mettre en images le retour d’expérience de vos clients en 2 à 3 minutes maximum est un excellent outil d’aide à la vente mais il peut aussi être exploiter aisément dans d’autres circonstances, et donc réutilisé. pour:

  • développer vos relations presse et relations auprès des influenceurs
  • renforcer le dossier de votre candidature à un trophée
  • illustrer vos propos lors d’événements clients (tour de France, petits déjeuners, thématiques, etc.)
  • renforcer votre discours lors de toutes vos prises de parole (salons, conférences, tec.)

Complémentaire du cas client rédactionnel, il est bourré de bénéfices et de vitamines pour votre communication et votre marketing mais doit respecter certains basiques:

  • Il met en valeur les points forts du témoignage du pojnt de vue des utilisateurs et permet de faire parler des interlocuteurs différents (DSI, partenaires, Métiers, utilisateur final, etc.).
  • Il est intégré dans la stratégie de référencement.
  • Il sera réalisé de façon courte (2 à 3 minutes), de façon dynamique (au format JT ou au format interview avec de belles images d’illustrations).
  • il est sous-titré dans la langue d’orgine pour être plus aisément diffusé sur les réseaux sociaux et bien sûr la version anglaise sous titrée est toujours un plus.
  • et surtout il sera réalisé par des pros ! (bin oui parce que imovie ne remplace pas l’œil un réalisateur et d’un monteur professionnels !).

Bref si vous respectez les quelques r!èles de base, cela ne devrait vous apporter que du bonheur !

Voici un exemple de témoignage client vidéo réalisé pour la société Oxalys…

… et un autre témoignage client vidéo pour la société Microstrategy

Pour évaluer les possibilités offertes par vos références en matière de réalisation de cas client et témoignage utilisateur, ci-ontactez-nous !

Plus d’infos maintenant !

En savoir plus sur les témoignages clients au format rédactionnel et/ou vidéo:

Inbound Marketing: Les témoignages de vos clients, une mine d’informations pour votre entreprise

Retour sur 3 exemples de génération de contenu très réussis ( de 1900 à nos jours…)

Le No Go sur la vidéo d’entreprise : vers un suicide marketing ?


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exemples de génération de contenu

Retour sur 3 exemples de génération de contenu très réussis ( de 1900 à nos jours…)

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Évangéliser, éduquer ses clients, leur donner les moyens de comprendre leur marché tout en développant le discours de la vision et de la mission de sa propre entreprise, voilà l’un des rôles dévolus à la génération de contenu. Et quand on parle exemples de génération de contenu, on pense encore trop souvent blog, Twitter, Facebook, tribunes d’experts, retours d’expérience client… Bref, surtout du rédactionnel, de l’infographie ou de la vidéo postés sur le web et/ou imprimés puis remis en main propre lors de démarche de prospection commerciale (rendez-vous clients, événements, salons, etc.). Pourtant la génération de contenu passe aussi par des initiatives originales, capables de mixer des techniques marketing avec un contenu éducatif et ludique, en vue d’atteindre des objectifs de développement de la notoriété ou de développement commercial.

Étonnamment, cette idée ne date pas d’hier et a fait des petits depuis… Je vous propose donc, en matière d’exemples de génération de contenu, de revoir vos classiques et de découvrir d’autres initiatives !

Et les frères Michelin inventèrent la génération de contenu…

Exemples de génération de contenu : le guide Michelin

On oublie parfois que ces bonnes pratiques remontent au début du siècle dernier quand les frères Michelin, fondateurs de la célèbre marque au Bibemdum eurent la bonne idée de créer le guide Michelin en 1900 pour l’exposition universelle. Ils choisissant en premier lieu, de le remettre gratuitement à leurs clients. Le guide gagnera ses galons au fil des années en particulier avec la création des étoiles et deviendra un classique du gastronome voyageur, comme l’avait prévu les deux créateurs qui disaient de lui : « ce guide est né avec le siècle, il durera autant que lui « …

L’idée de départ est simple: aider les clients de Michelin à voyager mieux et plus. Car un automobiliste qui voyage est un automobiliste qui use des pneus.

L’histoire de la marque est à ce titre exemplaire car elle a toujours su anticiper les attentes de ses clients et créer, pour eux, une aide à la mobilité. Et ce, depuis la création de l’entreprise: le bureau des itinéraires ( ancêtre de viamichelin.fr), les cartes routières, les guides touristiques et hôteliers, sont autant d’idées de contenu qui ont participé à développer l’image de l’entreprise tout en lui permettant de mieux vendre à ses clients.

 

Guiness ou comment transformer des buveurs de bière en grands débatteurs devant l’Éternel …

Exemples de génération de contenu: le Guiness BookAutre exemple étonnant : le livre Guiness des records ! Bien qu’amateur de bière, j’avoue qu’avant une discussion à bâtons rompus avec Clément Lelardoux, formateur et consultant en web-marketing, je n’avais jamais fait le rapprochement avec la célèbre brasserie tant ce livre est devenu une institution.

À l’origine de cette aventure, on trouve une simple partie de chasse et une idée géniale. En 1951, Sir Hugh Beaver (directeur de la brasserie Guinness) débattit avec ses camarades pour savoir qui du pluvier doré ou du tétras volait le plus vite. Même en consultant des ouvrages de référence, impossible de connaître la réponse. Il lui vint alors à l’idée de créer un livre qui recenserait tous les records, un livre qui aurait comme autre avantage d’alimenter les discussions dans les quelques 81000 pubs de Grande-Bretagne et d’Irlande. Et quand on débat, on boit de la bière !

Que montrent ces deux exemples en matière de génération de contenu ? Que l’on peut faire passer des messages en proposant du contenu avec un rapport indirect et ainsi nourrir à la fois l’esprit de ses clients et notre image de marque.

Always et son #LikeAGirl ou servir la marque autant que la cause de ses consommatrices

Loin des schéma classiques des articles de blogs, des tweets et autres vidéos, j’ai choisi un autre exemple d’entreprise qui propose à leurs clients et consommateurs une génération de contenu pertinente : Always avec son message #LikeAGirl a fait le choix de mixer techniques marketing et contenu éducatif et engagé !

Avec sa campagne #LikeAGirl, Always se positionne comme un véritable acteur du marché de l’hygiène féminine et à ce titre prend une posture responsable vis à vis de la condition de la femme.

L’idée de base est simple : l’expression « comme une fille » est souvent utilisée comme une insulte et nombre de jeunes filles ont finalement une mauvaise image d’elles-mêmes une fois devenues adolescentes. Une expression qui n’est absolument pas ressentie comme une insulte par les petites filles. C’est ce que démontre la vidéo baptisée #LikeAGirl.

Lorsque l’on demande à une jeune fille ce que c’est que courir « comme une fille » ou lancer « comme une fille », elle va effectuer l’action en se ridiculisant. Si on pose la même question à une petite fille, elle va courir ou lancer naturellement. Always, par cette vidéo, affirme son engagement auprès des jeunes filles en les aidant à garder cette confiance en elle, qu’elles perdent souvent à l’adolescence.

A la fois outil marketing et message militant, ce contenu sert aussi bien l’image de la marque que la cause de ses consommatrices. Elle éduque les jeunes filles et porte l’image d’une marque responsable et engagée. A ce jour, la vidéo comptabilise plus de 36 millions de vues et a été largement partagée sur les réseaux sociaux… Parmi les exemples de génération de contenu que je cite souvent dans les formations que j’amine, j’avoue que celui-ci a été un vrai coup de cœur aussi bien dans la forme que dans le fond ! !

Au-delà des exemples de génération de contenu, si vous passiez à l’acte?

Comme vous pouvez le constater, la génération de contenu n’est pas née avec l’inbound marketing et  l’ère digitale. Elle a toujours été un réel plus pour les entreprises qui savaient miser dessus. Or, avec l’autonomisation des clients sur le web, la nouvelle génération Y plus zappeuse et avertie que la précédente, la génération de contenu est devenue un nouvel atout aisément accessible à condition de faire preuve d’un peu d’imagination et de créativité à bon escient. La génération de contenu  est une des clés de voute d’une communication différenciante et d’un marketing digital réussi !

Besoin d’être accompagné afin d’optimiser votre stratégie de génération de contenu? Envie de former vos équipes marketing sur ce sujet ?

Contactez-nous !

A lire sur le sujet de la génération de contenu:

8 bonnes résolutions pour réussir sa stratégie de génération de contenu

Rédiger un livre d’or, bonne idée

Les témoignages de vos clients; une mine d’or !

et la rubrique Génération de contenu de notre blog

Pour en savoir plus le Guide Michelin et le Guiness Book

http://www.viamichelin.fr/tpl/mag6/art200903/htm/tour-saga-michelin.htm

http://corporate.guinnessworldrecords.com/company-history.aspx

 


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Journaux d’information et newsletters: collectivité locale ou professionnel de la plaisance… même combat !

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C’est avec plaisir que nous vous invitons à partager nos dernières réalisations en matière de newsletters et lettres d’information. Deux organisations à vocation très différente – la Mairie de Saint-Jeannet et Captain Nason’s group, spécialiste de la plaisance – ont pourtant des besoins très similaires en matière de génération de contenu.

Dans le cadre de la Mairie de Saint-Jeannet, la communication est un élément important de la politique municipale qui favorise la transparence et l’information. Tout en gardant la maitrise de son journal, la municipalité a fait  le choix d’externaliser la rédaction et surtout l’ensemble de la gestion d’un journal trimestriel de 24 pages minimum, afin de gagner en régularité de publication, en qualités rédactionnelles et éditoriales et en lisibilité et esthétisme du produit fini.

Captain Nason’s Group, groupe varois spécialisé dans les métiers de la plaisance souhaitait se démarquer de ses concurrents en réaffirmant son savoir faire et son expertise au travers d’un document à la fois capable de faciliter la diffusion de ses annonces de bateaux d’occasion et de présenter à ses clients les dernières nouveautés en matière de plaisance. Le choix s’est porté sur un « 8 pages » avec une option très qualitative afin que le CNN (Captaim Nason’s News) soit perçu comme n journal et non un prospectus…

Voici le résultat de l’association d’AJEM Consultants (rédaction) et de Publisoft (création graphique), tous deux membres du réseau d’expertsbulletin municipal n8 Activ 3D.

 

voir aussi

9 règles de base pour réussir (ou pas) son bulletin municipal

Captain Nason's news N 1

Télécharger le n°1 du journal Captain Nason’s News

Télécharger le Bulletin Municipal de Saint-Jeannet n°8


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vidéo d'entreprise

Le No Go sur la vidéo d’entreprise : vers un suicide marketing ?

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En ce début d’année consacrés aux meilleurs vœux d’une belle année prospère pour tous, les marqueteurs valident leur budget ( un sujet bien touchy…) Ils finalisent leur plan d’action marketing et c’est le moment de poser la question de la place de la vidéo d’entreprise (ou pas ) dans le marketing de l’entreprise. Une question pas si anodine que cela. En effet, passer à côté d’un des plus puissants vecteurs de communication qui soit pourrait s’apparenter à un suicide marketing.

Voici un article sur ce sujet écrit à quatre mains avec ma complice Danièle Costantini, journaliste, réalisatrice et fondatrice de la société LCMA.

1 minute de vidéo équivaut à 8 millions de mots …

…et le cerveau humain visualise 60 000 fois plus vite les images que le texte, ce n’est pas mercatique c’est physiologique.

La portée d’une vidéo et donc sa rentabilité est bien plus élevée qu’un contenu rédactionnel. Ignorer cette réalité ou ne pas oser se lancer dans la réalisation d’une vidéo relève du suicide marketing. Toute entreprise dont l’objectif est de voir sa marque se développer dans les prochaines années (existe-t-il une entreprise qui ne le souhaite pas?) a le plus grand intérêt à planifier un minimum de vidéos dans sa stratégie de communication.

Un Retour sur Investissement qui mérite de tenter le coup !pour et contre la vidéo d'entreprise

Le frein dans l’entreprise est souvent financier. Demandez à un marketeur s’il veut faire de la vidéo. Sa réponse sera inlassablement :

« j’aimerais bien mais bon.. »  Mais bon quoi?  « Ben j’ai pas le budget ! »

L’envie est là mais la vidéo d’entreprise est souvent appréhendée dans son coût de production et non dans son retour sur investissement. Au moment de communiquer un devis, les réalisateurs sont confrontés à deux types de réactions.

La première ( celle que l’on aime et finalement la plus fréquente): « Ce n’est pas si cher finalement … « 

La seconde « Aïe ..pPff c’est pas donné.. on n’a pas les moyens ».

Dans le premier cas, les équipes peuvent se mettre au boulot sans tarder, les besoins sont souvent pressants. Dans le marketing et la communication, la livraison du produit fini ou PAD (prêt à diffuser) c’est souvent pour avant-hier …Un congrès, une présentation client, un banquier à convaincre, un site internet à lancer, un trophée à remporter, un prospect à séduire. Dans tous les cas la vidéo peut faire la différence.

Dans le deuxième cas, il s’agit d’être pédagogue et on explique : pourquoi ce budget ? Comme tout autre outil, la vidéo doit être PRO. Ce n’est parce que vous avez monté le film des 18 ans de votre fils ainé qu vous être un pro de la vidéo. ( Tout comme refaire le carrelage de votre salle de bain ne fait pas de vous un plombier…)

Les vidéos amateurs, et elles sont pléthores malheureusement sur le net, ça se voit tout de suite!

En terme d’image de marque, cela ne fait pas très sérieux et peut même se révéler contre-productif pour une entreprise qui entend soigner son image et sa communication.

 

Privilégier la qualité à la quantité

Voici pourquoi il faut consacrer un minimum de budget pour une vidéo professionnelle dont le retour sur investissement sera ultra rapide voire immédiat ( je vous invite à ce titre à consulter les commentaires de nos clients à ce sujets) Tout simplement parce que c’est un vrai métier, qui demande du temps, du matériel et surtout des compétences multiples et incontournables:

  • la capacité à écrire un scénario
  • un esprit d’analyse affuté doublé d’un solide esprit de synthèse
  • la capacité à réaliser des interviews
  • la maîtrise technique du matériel
  • le montage
  • l’œil pro pour donner du style et se différencier
  • et bien sûr, la capacité à dialoguer avec les professionnels du marketing et à comprendre les messages clés que la vidéo doit porter.

De moins en moins chère (même pour l’image en 4K), la vidéo d’entreprise, grâce à l’évolution des technologies, est aujourd’hui extrêmement abordable.

La vidéo est un format particulièrement adapté pour des sujets complexes ou difficiles à traiter par écrit. C’est aussi un excellent complément aux contenus rédactionnels qui pourront être conçus avec une approche plus pointue. Le format fonctionne à la perfection sur les smartphones et les tablettes, la viralité des vidéos n’est plus à démontrer comparée aux photos et aux textes.

Il est donc très important ensuite de diffuser et exploiter la vidéo que vous avez conçue dans l’ensemble de vos actions: salons, newsletters, réseaux sociaux, témoignages clients etc.. Sa durée de vie est longue si vous savez l’exploiter . La vidéo est devenue un des incontournables d’une stratégie de content marketing 2018 parce qu’elle fait vivre une histoire et crée un lien émotionnel entre la marque et l’internaute.

Les spécialistes estiment que la vidéo représentera 80% du trafic web en 2019, tous secteurs confondus.

A bon entendeur…

 

 

sources: content marketing académie. James Mc Quirey de Forrester. Reuters Institute of Journalism

Retrouvez un exemple de réalisation d’AJEM Consultants et LCMA


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rédiger un livre blanc

Rédiger un livre blanc : bonne idée mais j’en fais quoi ?

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Avec l’avènement du web et de la « com’  » à tout prix, les recettes classiques pour valoriser les compétences de l’entreprise évoluent. La génération de contenu métier prend de nouvelles formes . Elle vous permet de communiquer avec efficacité et pertinence et de positionner votre entreprise en tant qu’un expert sur son secteur. Le contenu métier est avant tout centré sur votre client potentiel –  attentes,  problématiques,  besoins –  plutôt que sur votre entreprise et vos produits. Aussi il doit faire l’objet d’une réelle stratégie au sein de l’entreprise. Rédiger un livre blanc est une excellente option pour mettre en oeuvre une  génération de contenu pertinente et renforcer la notoriété de votre entreprise.  Quelques conseils et exemples de réalisations pour mieux comprendre comment faire de vos livres blancs l’une des clés de voute de votre stratégie de content marketing !

Qu’est-ce qu’un livre blanc? Du politiquement percutant à l’économiquement innovant !

Le livre blanc est un document rassemblant des informations destinées à un public donné. Il a pour objectif de lui permettre de prendre une décision au regard d’une thématique, d’une problématique ou d’un sujet particuliers.

A l’origine il a été conçu pour les politiques. en effet, le livre blanc avait pour but d’expliquer de façon simple et accessible les intentions d’un gouvernement. Son usage s’est élargi auprès d’institutions publiques. Et depuis quelques années il est utilisé par les entreprises privées. Il fait à présent partie intégrante de la stratégie de génération de contenu de l’entreprise.

Les livres blancs, s’ils répondent toujours à une stratégie marketing précise, ont généralement une structure commune. Un état des lieux autour de la problématique, des témoignages utilisateurs, des retours d’expérience et/ou une enquête. Il apporte une vision sur les évolutions majeures dans les années à venir, les solutions disponibles sur le marché, l’approche et le point de vue de l’éditeur du livre blanc.

Le livre blanc doit permettre de …

  • positionner l’entreprise comme un leader d’opinion et un expert dans son domaine d’activité
  • attirer de nouveaux clients et générer des contacts commerciaux à fort potentiel
  • fournir de l’information orientée métier et client (et non communiquer exclusivement sur l’entreprise)
  • développer la notoriété de l’entreprise
  • servir de support à de multiples opérations de communication : communiqué de presse, participation à une remise de trophée, soirée VIP, etc.

L’un des autres effets du livre blanc est de mettre en place une dynamique et une implication des partenaires de l’entreprise dans un projet commun. Cela fédère autour d’une communauté, les clients, les fournisseurs,  les institutions, les universitaires, les organisations professionnelles, etc.

Attention ! Rédiger un livre blanc, ce n’est pas :

  • créer une plaquette publicitaire version ultra détaillée
  • faire un copier/coller de wikipédia (ou d’un livre blanc d’un concurrent…)
  • synthétiser des articles de journaux
  • écrire un mémoire de fin cycle universitaire
  • faire la synthèse très technique (et sans approche métier) d’une étude réalisée par un cabinet conseil…

Rédiger un livre blanc d’accord…
mais j’en fais quoi ?

ajem consultants

Rédiger un livre blanc et le laisser dans vos tiroirs n’a évidemment que très peu d’intérêt si ce n’est de flatter son égo…

Vu le temps passé et l’énergie investie (sans compter l’argent dépensé), il devra nous donner des résultats marketing concrets.

Bref … Il doit être source de création de valeur et permettre de développer votre notoriété et de générer des leads!

J’en restitue le contenu auprès d’une cible identifiée et à fort potentiel

Votre livre blanc est prêt. Première opération, en particulier si vous avez fait appel à des contributeurs externes (clients, enseignants,etc.), effectuer une restitution du contenu de votre livre blanc auprès des contributeurs. Ces derniers pourront ainsi partager leur expérience mais aussi dialoguer avec des journalistes, influenceurs ou  clients à fort potentiel. Un petit déjeuner, un support visuel de type diaporama pour résumer le contenu, un débat et la remise du livre blanc aux participants feront de votre première communication autour du livre blanc, une opération efficace.

redigerun Livre blanc acxias acheteur a e-acheteur

Je le publie et le diffuse

Cela peut paraitre étonnant mais certains auteurs de livres blancs ont la fâcheuse tendance à ne pas les publier ou à en restreindre l’accès. Première étape, la publication sur le web et auprès d’une sélection de clients . Cette action permet de générer des contacts auprès d’une nouvelle clientèle ou de renforcer votre relationnel client. Informations, référencements, mots clés, mais aussi diffusion sur des sites spécialisés en rapport avec l’activité ou directement sur des sites dédiés à la diffusion de livres blancs serviront cet objectif.

Je l’intègre dans une campagne digitale

Les livres blancs sont un très bon outil pour générer des leads via une campagne digitale qui invitera les internautes à télécharger un contenu à valeur ajoutée. C’est le choix qu’a fait la société ITS Group avec son livre blanc rédigé en collaboration avec IBM (et AJEM Consultants pour la rédaction !) sur la place de l’AS400 dans la transformation digitale. Les prospects sont invités à télécharger un document qui fait le tour de la question et propose des solutions pour faire évoluer les applications AS400 critiques dans un contexte digital.

rédiger un livre blanc

Découvrir le livre blanc ITS Group

Je réalise une opération de relations presse

Une opération de relations presse judicieusement couplée à ce type d’action, est idéal dans ce cas, en particulier si vous avez obtenu des interviews de personnes reconnues ou une participation d’une organisation professionnelle par exemple. Les journalistes apprécieront toujours du contenu pertinent, surtout si le livre blanc suit une tribune d’expert réussie. Kimoce a ainsi communiqué sur la publication de son livre blanc auprès de la presse spécialisée.

Je crée l’événement

Pourquoi ne pas se lancer dans l’organisation d’un événement de prestige ou coupler la publication avec un événement de la profession ? Salon, remise de trophées, convention d’une organisation professionnelle représentative, concours… vous offriront la visibilité nécessaire pour assurer le succès de votre livre blanc.

C’est l’option choisie par Kimoce pour la réalisation de son livre blanc sur les nouveaux enjeux des DRSG qui a remis le livre blanc lors d’un événement organisé par une organisation professionnelle puis, face au succès du document, à organisé un Tour de France pour restituer le contenu du livre blanc.

Pour découvrir en vidéo le retour d’expérience de Kimoce

Un dernier conseil si vous souhaitez rédiger un livre blanc…

Si vous aussi, vous avez envie de vous lancer dans l’aventure d’un livre blanc en toute sérénité,  pensez à faire appel à ceux dont c’est le métier et qui vous garantiront qualité de contenu et d’écriture. Un expert n’est pas forcément la meilleure personne pour rédiger un livre blanc. Un spécialiste de la génération de contenu, oui…

Pour en savoir plus sur la rédaction de livres blancs avec AJEM Consultants

 


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9 règles de base pour réussir (ou pas ! ) son bulletin municipal (et toute autre publication)…

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…quand on est une commune de moins de 5000 habitants et qu’on ne peut pas se payer une grande agence parisienne ? (des conseils qui fonctionnent aussi pour une PME qui édite un journal d’information….)

réussir ou pas son bulletin municipalÉlément indispensable, voire stratégique, de la communication des communes, le bulletin municipal n’en reste pas moins la bête noire des élus et des agents territoriaux en charge du projet. En particulier dans les petites structures. Qui écrit les articles, qui va gérer l’imprimeur, qui donne le BAT, en un mot comment procéder pour faire cesser la « sacro sainte » galère de la réalisation du bulletin municipal ? Cet article m’a été inspiré par l’un de mes clients, Directeur Général de Services d’une commune de 4000 habitants qui, à chaque fois que je le relançais au sujet du bulletin municipal, commençait par me dire : « Ah c’est vous ? Pffff… ». Non pas que nous ne travaillions pas en harmonie, au contraire. Simplement, ce sujet était source de tracasseries pour lui plutôt que de plaisir. Et pourtant… Il y a pire que de réaliser le journal d’une commune. On y rencontre des gens merveilleux, on redécouvre les coins qu’on ne connaissait plus, on réinvente l’histoire et on se rappelle pourquoi il y fait bon vivre… Voici donc quelques règles de base pour réussir (ou pas) son bulletin municipal…

Règle n°1 : ne pas confondre le bulletin municipal avec un outil de propagande

Au concours de « ma trombine partout », célèbre rubrique du Canard Enchainé, nombre de maires gagnent. J’ai ainsi pu lire un bulletin municipal rassemblant 28 photos du maire sur 24 pages… Le bulletin municipal n’est pas la lettre du maire et s’il est de bon ton qu’il signe l’édito, il ne s’exprimera pas sur des sujets polémiques, réservant son avis politique pour d’autres supports.

Règle n°2 : définir un objectif, une périodicité, un style, bref une stratégie éditoriale !

Un bulletin municipal, comme toute publication d’entreprise, a vocation à informer une cible spécifique, à savoir, dans notre cas : la population. Mais pour cela, il faut définir une ligne éditoriale et une stratégie associée : fait-on de la publicité ou non, fait-on parler les élus ou pas, quelles seront les rubriques que les habitants auront plaisir à lire, quelles informations je peux transmettre ? avant d’écrire il faut réfléchir…

Règle n° 3 : s’organiser pour respecter la périodicité

Un bulletin municipal, on en publie combien par an? Il n’y a pas de règle évidemment mais le plus important reste encore et toujours de respecter les délais (c’est le moment où le Directeur Général des Services pense sans le dire : « si on prend du retard, on en fera que 3 au lieu de 4 et ça en fera toujours un de moins sur mon budget de cette année… »). Pour cela, il est indispensable de disposer d’un chef de projet interne et d’un prestataire externe dont le rôle sera justement de pousser tous les intervenants à être dans les délais.

Règle n°4 : ne pas confondre un beau bulletin avec un bulletin qui sera lu…

« Il est pas très moderne le bulletin moi j’ai vu celui de chez mon beau frère, il est plus branché… ». Peut-être… Mais le plus important est de penser aux lecteurs. Le journal doit surtout être facile à lire et adapté à tous les âges (en vieillissant on a besoin de lire des caractères plus gros…) et doit disposer d’une présentation soignée sans céder aux sirènes de l’agence de communication qui privilégiera le look au contenu. Car avoir un beau bulletin ne suffit pas à fidéliser vos lecteurs. Pour que le bulletin joue son rôle, il doit être lu. Et mieux encore … Il doit être attendu ! La vraie mesure du succès de votre bulletin, c’est quand vos concitoyens réclament le bulletin municipal et quand ils trouvent aussi bien des informations sur les prochains travaux que sur l’histoire de leur ville.

Règle n°5 : produire du contenu intéressant (ou pas) et éviter la question fatale : « Bon alors on met quoi dans ce bulletin? On n’a rien à dire ? ».

Vous partagez votre vie avec 4000 personnes et il ne se passe rien dans votre commune ? Tout est intéressant à publier à condition de se rappeler quel objectif on place dans le bulletin… N’oubliez pas que vos concitoyens ne sont pas seulement intéressés par la date de la prochaine fête patronale et que surtout, le bulletin est un excellent support pour faire de la pédagogie… Actualités, vie culturelle, vie économique, journal des associations, dossiers spéciaux (PU, Métropole, rythmes scolaires, etc.), mais aussi anecdotes, interviews de personnalités ou de partenaires de la commune trouveront aisément leur place dans votre bulletin… Pensez également à varier la forme rédactionnelle de vos articles tout en conservant les rubriques : interviews, quizz rigolos, articles de fond sont autant de façon de communiquer de façon plus intuitive et sympathique.

Règle n°6 : désigner un comité de rédaction et un comité de relecture

Confier la rédaction et la mise en page à des professionnels de la communication c’est important mais cela ne fait pas tout. Il est important de créer un comité de rédaction et un comité de relecture pour éviter le fameux : « Allo, c’est M. Le Maire à l’appareil, on peut bloquer le BAT ? Parce que là on n’est pas d’accord sur un article… » Évidemment, ce genre de chose arrive un vendredi soir, sinon ce n’est pas drôle mais cela est souvent la conséquence d’une mauvaise organisation dans la relecture et la définition de la ligne éditoriale. Le comité de rédaction et de relecture est là pour garantir une certaine cohérence et une ligne éditoriale à respecter. Car la confiance n’exclut pas le contrôle!

Règle n°7 : impliquer les élus

Cela vous semble une règle de base? Elle est rarement respectée pour la simple et bonne raison que les élus sont bénévoles (ou presque) et qu’ils n’ont pas toujours le temps ni l’expérience pour participer au bulletin municipal. Il est indispensable de ne pas attendre que le bulletin soit finalisé pour qu’ils donnent leur avis. En revanche, les attendre peut aussi avoir des conséquences sur les délais de production. Informez les principaux tiers concernés de la date de publication et du rétro planning, vous gagnerez du temps. Se pose alors la question de savoir si les élus doivent rédiger des articles. Pas forcément mais, en revanche, il est important qu’ils puissent signer des articles, même s’ils ont été aidés dans la rédaction par une « plume »…

Règle n°8 : éviter de confier la rédaction de l’édito au maire…

« Et l’Édito ? On met quoi dans l’Édito?? » Jamais fini, jamais réfléchi, toujours rédigé au moment de donner le BAT et surtout… rarement inspiré Monsieur le Maire quand il s’agit de rédiger son édito. Arrêtez de le confier au maire… sauf s’il a un don particulier comme rédacteur. Il est préférable de réaliser une interview du maire qui servira ensuite de base à un rédacteur pour finaliser l’édito.

Règle n° 9 : ne pas oublier que la relecture est tout sauf facultative !

Voici en vrac quelques phrases que l’on n’aime pas entendre quand on rédige comme moi des bulletins et des lettres d’informations : « Ah mais ca va pas du tout ce que vous avez écrit là… le maire est d’accord ? Pis c’est parti à l’impression ? On laisse comme ça alors ?». La relecture est un élément indispensable aussi bien pour le fond (informations erronées) que pour la forme (fautes d’orthographes). Il est donc important de s’assurer que le prestataire dispose bien d’un secrétariat de rédaction qui se chargera de faire plusieurs relectures en complément de celles effectuées par les élus et autres responsables dont ce n’est pas forcément le métier.

Pendant 4 ans AJEM Consultants a assuré la gestion, la rédaction et la mise en page du journal municipal de la ville de Saint-Jeannet.  Contactez-nous si vous souhaitez une formation ou une assistance dans les techniques de rédaction de votre bulletin municipal : contact@ajemconsultants.com ou via notre formulaire.

Voir aussi:

Journaux d’information: collectivité locale ou professionnel de la plaisance… même combat !

 

 

 


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témoignage utilisateur en video ajem consultants

Témoignage Utilisateur en vidéo : Naos témoigne pour Oxalys Technologies avec la complicité de nos équipes !

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Le sujet du témoignage utilisateur en vidéo: Le groupe NAOS réussit le pari de l’e-procurement avec OXALYS TECHNOLOGIES et affiche un taux d’adoption de 80% et une augmentation de sa couverture Achats.

Un très beau projet qui a mobilisé les équipes et a permis au Directeur Achats du groupe Naos de remporter le Trophée de l’Innovation lors des Trophées Achats de Décision Achats. Pour raconter cela et développer la visibilité du projet, nous avons réalisé un témoignage utilisateur en vidéo, avec une vidéo professionnelle avec l’équipe de LCMA Reportages et AJEM Consultants.

Nous avons également produit un rédactionnel du témoignage utilisateur. Un grand merci à tous pour votre confiance !

Le témoignage utilisateur en vidéo

La collaboration  Naos et Oxalys Technologies en quelques mots:

LES ENJEUX :

  • Augmenter la couverture afin de répondre aux objectifs de la Politique Achats
  • Mener de front le déploiement d’une solution d’e-achats et la migration sous SAP de l’ERP du groupe
  • Faciliter l’adhésion des utilisateurs pour assurer un taux d’adoption maximal

LA SOLUTION :

  • Le déploiement d’OXA.PROC et OXA.SRM, le module e-procurement et de SRM d’OXALYS TECHNOLOGIES
  • Une interface avec l’ERP SAP
  • Un accompagnement des équipes OXALYS TECHNOLOGIES tout au long du projet
  • Un accompagnement au changement par les équipes Achats

LES PRINCIPAUX BÉNÉFICES :

  • Un taux d’adoption de 80% en moins de 6 mois
  • Une couverture Achats en constante croissance
  • Des utilisateurs plus autonomes et plus efficaces
  • Des circuits de validation plus rapides, plus simples et plus sécurisés
  • Des processus Achats fluidifiés et sécurisés

témoignage utilisateur redactionnelLe rédactionnel du témoignage utilisateur

NAOS est une entreprise française indépendante et un acteur majeur de la cosmétique internationale. Pour accompagner la forte croissance du groupe, la Direction Achats a construit une stratégie Achats innovante qui s’est traduite par la mise en place, début 2017, d’une solution d’e-Procurement et de SRM baptisée NAOS Store.  Le portail dédié aux achats indirects a été pensé pour être ergonomique et intuitif et s’appuie sur la solution Achats d’OXALYS TECHNOLOGIES. Une politique Achats volontaire associée à un partenariat fort avec l’éditeur et un accompagnement au changement efficace a permis d’atteindre un taux d’adoption de près de 80% en moins de 6 mois ainsi qu’une hausse significative de la couverture Achats. Un projet mené tambour battant en pleine migration de l’ERP et dont l’innovation et l’audace ont été récompensées par le prix Or Innovation des Trophées des Achats 2017.

Pour en savoir plus, téléchargez le cas client au format PDF ou rendez-vous sur le site de notre client.

 

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relations presse BtoB

Les Relations Presse BtoB (RP): Réel Pipo ou outil indispensable au développement commercial de l’entreprise ?

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S’il est vraiment une profession qui souffre d’un déficit d’image au sein des entreprises, c’est bien celui d’attaché(e) de presse BtoB. Bien que ces professionnels des Relations Presse BtoB ne ressemblent que très rarement au personnage créé par le défunt (et fort talentueux) Elie kakou, leur rôle n’est pas toujours perçu comme indispensable, surtout avec la numérisation de la communication et de la relation aux marques. Et pourtant ! Une bonne campagne de relations presse vous permet de disposer d’un canal commercial supplémentaire. Pour un coût nettement inférieur aux traditionnelles publicités !

Le digital et la génération de contenu n’ont pas tué les Relations Presse BtoB

Je ne saurai que trop vous conseiller de ne pas trop écouter les sirènes de ceux qui vous expliquent que les Relations Presse sont mortes ! Loin de là, car c’est un outil indispensable pour sortir du lot ! La génération de contenu est à la mode – je suis d’ailleurs spécialisée dans ce domaine – et a fait ses preuves. Mais cela ne suffit pas à être identifié comme un expert par vos futurs clients. C’est un outil complémentaire des relations presse, voire une composante (comme par exemple un livre blanc qui ferait l’objet d’un campagne de Relations Presse) mais cela ne saurait remplacer le travail d’un (ou d’une) attaché(e) de presse.

Deux conditions pour réussir vos Relations Presse BtoB : disposer d’un vrai savoir-faire et avoir des choses à dire !

« Faire des relations presse » comme on dit ne se limite pas à écrire un communiqué de presse (que mes amies consultantes en RP ne se vexent pas !) mais bien à le diffuser de façon pertinente et à inciter les journalistes à rédiger des articles qui porteront votre message, dans les bons journaux. Le nombre d’articles ne saurait être un critère de qualité et de performance. En effet, une page dans un journal parfaitement ciblé génèrera probablement bien plus de contacts commerciaux que 10 brèves reprenant simplement un extrait du communiqué de presse sur Internet.

C’est d’ailleurs à ce moment précis que vous serez à même de juger de la qualité de votre attachée de presse. Sa capacité à communiquer sur les bons sujets au bon moment, sa qualité rédactionnelle, sa connaissance des enjeux du marché auquel vous vous adressez et surtout son réseau – REEL – de journalistes.

Un retour sur investissement qui a fait ses preuves en temps de crise

Cette période dite de crise est probablement un bon moment pour tester la valeur ajoutée et le ROI des Relations Presse. Les budgets publicitaires réduisent, les embauches sont au niveau zéro ? Comment communiquer simplement à un coût réduit ? Réponse: en optant pour une campagne de relations presse qui privilégiera la génération de contenu pertinent. Sur quoi communiquer ? Les sorties de produits, les signatures de contrats, les nominations mais aussi des tribunes d’experts ou les retours d’expérience de vos clients !

 

Convaincu ? Contactez-nous ! Nous travaillons en collaboration avec des spécialistes des Relations Presse. Nous pourrons vous aider dans vos consultations ainsi que dans la gestion et le pilotage de votre attaché(é) de presse au quotidien.


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